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Quand Lacey Garrity surprend son tout nouveau mari en flagrant délit d’adultère avec sa demoiselle d’honneur dans la lingerie de la salle de réception, le grand frère de sa meilleure amie – harceleur et béguin de sa jeunesse, boxeur et mauvais garçon, Galen Thomas – vient à sa rescousse. La solution que lui propose Galen est à la fois emballante et dangereuse. Quelle meilleure façon d’oublier l’erreur de sa vie que de partir en lune de miel avec un type qui ne peut rien promettre au-delà du jour même? … ou un K-O technique? Galen avait compté sur le mariage de Lacey pour la mettre hors d’atteinte – et la chasser de ses pensées – une fois pour toutes, mais leur sulfureuse escapade portoricaine met à l’épreuve toutes les limites qu’il s’était fixées. Maintenant que Lacey assume sa sensualité inhérente, Galen songe à jeter la serviette et à se laisser séduire. Mais avec le plus important combat de sa carrière en jeu et une fusion d’envergure qui menace de faire chanceler la détermination de Lacey, leur histoire d’amour pourrait se retrouver au tapis avant même qu’elle ne débute.
que dire ?
qu'il s'agit d'une mignonne histoire entre deux anciens amis.
Elle ,gamine ,ado et adulte a toujours un faible pour lui
Lui, comme tous les ados ne s’intéresse guère aux amies de sa sœur
Mais celle ci , il l'aime bien, jusqu'à ce que sur un coup de folie, elle se laisse entrainer dans une aventure et que
le destin semble leur donner une deuxième chance.
Une histoire teintée de quelques scènes érotiques, un style agréable, qui se laisse lire
J'ai souri devant des expressions très canadiennes comme " magasiner, et tomber en amour
On ne peut pas vraiment adhérer aux personnages car l'amourette se joue bien trop vite et se termine bien comme il se doit
Il n'y a pas de passé terrible, pas de drames, ah oui une mère despotique
sans plus , un e-book qu se lit très vite idéal pour les vacances
4 commentaires -
Challenge : 1mois = 1 illustration
Ce mois ci la couverture doit comporter 1 homme
donc pour moi
Michael Brock est un jeune avocat ambitieux qui n'avait pas voulu se rendre compte jusque là que le prix de son simple repas du midi aurait pu nourrir des dizaines de clochards de la ville. Mais, un jour, sa vie bascule : il est pris en otage avec ses collègues par un SDF au bout du rouleau qui pose les bonnes questions avant d'être abattu par la police. Traumatisé, Michael va changer radicalement de point de vue. Ce qui le conduit à affronter son ancien patron : une entreprise bien risquée... Comme souvent dans ses romans, Grisham livre ici une charge virulente contre la justice américaine et sur la lutte perdue d'avance des défavorisés. Parce qu'il dénonce sans concession la société à deux vitesses, les fortunes qui s'accumulent pour les uns tandis que d'autres sont expulsés et meurent de faim, ce récit est bien plus qu'un best-seller. L'auteur évite l'écueil de la simplification. Les mécanismes de l'achat d'une bonne conscience sont particulièrement bien décrits. --Bruno Ménard
Voilà donc pioché dans ma PAL ce roman reçu depuis un certain temps déjà de Khanel ma copinaute dans le cadre " d'échanges de livres " dans mon groupe
Est ce que quand certains évènements de la vie vous bousculent, et que vous pensez avoir échappé à la mort , vous remettez toute votre existence en question ?
En réalité on y songe tous , mais combien sommes nous à aller jusqu'au bout ?
Michael avocat talentueux , promis à un brillant avenir (fortune, belle femme, bonne situation ) va en 30 jours tout jeter aux orties
Comment dans une Amérique où les jeunes gens sont formatés à sacrifier (temporairement ) vie de famille pour plus tard
" A quarante ans j'aurais un million en fonds communs de placement.. A cinquante, j'aurais 10 millions de dollars et salut la compagnie"
"On nous avait enseigné à être productif; plus notre réussite serait éclatante, plus la société d'une manière ou d'une autre, en tirerait profit. Se fixer des objectifs, travailler dur, être droit, devenir prospère"
Un jeune avocat va se réconcilier avec des valeurs idéalistes, enfin ce que l'on peut présumer de ses motivations , revirement existentiel, point de départ du roman.
Il m'a plutôt semblé que tout s'est imbriqué, assez rapidement cependant : l'agression, son couple qui se délite, circonstances , bonnes rencontres ...
Toutefois c'est un roman assez angoissant et poignant, bien sur tout semble bien loin de chez nous ,mais c'est effrayant quand même de voir les droits des personnes, bafoués, d’être confrontés à leur réalité quotidienne : lutte pour obtenir un ticket d'alimentation, lutte pour se voir son salaire versé , lutte pour trouver une petite place dans des centres juste une nuit etc..Tant et si bien que tous ces aléas favorisent encore plus leur exclusion, et augmente la difficulté à sortir la tête de l'eau. Et le tout dans l’indifférence générale de la société, qui ne voit là qu'un ramassis de bons à rien et de délinquants.
L'auteur sait s'y prendre pour nous entrainer dans les méandres juridiques et malgré la technicité des termes, ce roman est facile à lire.
Grisham comme de toujours sait bien poser se personnages et ses toiles de fond.
Ici le monde de la misère, la rue , le monde des SDF et celui de la richesse , des nantis, ces avocats aux salaires mirobolants .
Il aborde un problème de société très sérieux, que nous connaissons aussi ( lié à la délinquance, chômage,toxicomanie, clivage racial) , les moyens mis en place pour y remédier ( remédier un bien grand mot) : charité, ou et la prise en charge par l'état .
Le tout d'un point de vue très Américain bien sur, un roman qui date un peu mais reste totalement d'actualité.
Ce roman nous fait prendre conscience de nos chances et nous ait culpabiliser un peu bien sur !
le tout est un très bon thriller, une petite course contre la montre , comme tous les autres romans de cet auteur.
La fin est peut être "too much" ( je songe à Arthur, quoique tout le monde possède une conscience , non? donc rien n'est impossible)
Très , drôle parfois, émouvant. Avec certains personnages fascinants comme Mordecai. Un duo de choc, noir / blanc, luttant ensemble pour les droits des plus faibles
Extraits citations
" il est plus important de facturer un maximum d'heures que de rendre sa femme heureuse : les divorces sont monnaie courante. je n'aurais jamais oser demander à Rudolph d’alléger ma charge de travail"
"On nous avait enseigné à être productif; plus notre réussite serait éclatante, plus la société d'une manière ou d'une autre, en tirerait profit. Se fixer des objectifs, travailler dur, être droit, devenir prospère"
" je maudissais Monsieur d'avoir fait dérailler ma vie. Je maudissais Mordecai d’avoir suscité en moi un sentiment de culpabilité. Et Ontario de m'avoir brisé le cœur."
" l homme que j'avais été ne songeait qu'a l'argent, aux biens matériels , à la position sociale , des valeurs pour lesquelles je n’éprouvais aujourd’hui que mépris"
" les avocats des pauvres ne sont pas différents des autres; ils peuvent rencontrer l'amour dans un endroit aussi inattendu qu'un foyer pour femmes sans ressources"
" - je tire ma force des femmes, elles ont admirables. Des leur naissance, elles n'ont aucune chance d s'en sortir, mais elles parviennent à survivre. Elles trébuchent, elles tombent mais elles se relèvent et ,e renoncent jamais."
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Harry Bolt aurait pu se laisser mourir suite à cette grave blessure de guerre. S’il a survécu, c’est grâce à la voix sensuelle de la chanteuse Eve, de son vrai nom Ellen Palmer. Aujourd’hui, dirigeant d’une société de sécurité, il croit rêver quand l’artiste pousse la porte de son entreprise. Elle court un grave danger. Harry lui doit la vie, il la protégera à tout prix. Corps et âme…
Je l'avais pressenti , Harry me séduirait. Et j’étais ravie qu'il y soit parvenu. Même l'auteure m'a ... presque , conquise dans cet opus
J'ai trouvé l'intrigue bien mieux écrite, plus cohérente ,et les liens entre ,EllenEve s'installant plus tranquillement. Pour le reste cet opus suit la même trame que le précèdent pas de réelle surprise
Mais le passé d' Harry est perturbant, j'ai pensé aux autobiographies de Torey Hayden , qui nous plongent dans la réalité de ses enfants battus. et j'ai frissonné.
Je crois que c'est ce coté là de l'histoire qui m'a fait accroché parce que pour le reste, tout est à l'identique, si ce n'est que les "méchants " sont des voleurs et criminels sans foi ni loi
C'était agréable de suivre Sam et Nicole dans cette aventure, même si j'ai trouvé Sam un peu trop gnangnan avec sa femme
Encore un moment agréable de lecture avec une fin stimulante avec l'arrivée de Chloé et c'est couru d'avance , elle est pour Mick , le dernier partenaire, assez transparent pour l'instant, c'est sur mais ...
Il semble que ce ne soit pas tout
alors un opus qui sera sans réelle surprise , irais je jusqu'au bout de la trilogie ?
A voir , très probablement oui
même si je sais que cette saga n'est pas très transcendante.
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Nicole Pearce n’a pas une minute à elle entre un père malade et la création de sa société. C’est à peine si elle a pu faire connaissance avec son nouveau voisin. Et c’est bien dommage car Sam Reston est un pur canon ! Néanmoins, la situation va vite évoluer quand Nicole devient la cible d’une sombre conspiration dont seul Sam et sa garde (très) rapprochée peuvent la protéger.
Une saga dans le genre Maya Banks avec KGI et sa petite bande de frères dont chaque tome lui est consacré.
Ici Sam, Harry et Mick ne sont pas frères de sang mais un lien fraternel bien plus indéfectible et voire plus puissant les unis tous, en rapport avec un passé , celui d'une enfance et adolescence meurtrie qui aura forgé leur personnalité
ce premier opus est consacré à Sam tout en faisant découvrir les personnages secondaires.
L'homme , outre qu'il s'agit de son métier, y est dépeint comme très protecteur, même ultra-protecteur. Le tout en lien avec son passé qu'il nous dévoilera au fil de pages . Nous découvrirons que de dans cette agence il existe une association plus ou moins clandestine destinée aux femmes.
l'auteure fait donc la part belle aux personnages dans leur implication pour leur action dans la lutte contre la violence sur les femmes ,sujet sérieux et très d'actualité
Dans cette romance, car c'est un coup de foudre , une attirance incroyable entre Nicole et Sam, l'auteure parvient à glisser de l'action voire beaucoup d'action. Ça bouge.
Sam, ancien agent du SEAL ( mettant ainsi à l'honneur tous ces hommes engagées dans Les forces spéciales ) va nous montrer ses talents. Il va ainsi déjouer un attentat terroriste et encore une fois l'auteur met en avant les dangers et les répercussions du 11 septembre .
A vrai dire c'est assez angoissant, ce Mohamed taupe dans une Amérique que les djihadistes déteste et tellement réaliste
le tout semble très bien documenté et donne de la puissance à l 'histoire.
Les personnages sont relativement attachants, je n'ai pas vraiment craqué sur Nicole., la personnalité de Sam m'a davantage séduite avec toutes ses valeurs morales et ses implications dans la la lutte comme je le disais plus haut sur la violence conjugale.
Je passerais sur les scènes de sexe , ce n'est pas vraiment ce qui me motive dans ce genre de romance ( mais depuis quelque temps il semble que pour vendre elles soient indispensables ) mais le fait que bien souvent les auteurs y glissent des histoires de vie très intéressantes , avec des personnages cabossés par la vie , et pour notre plus grand plaisir, envoient une note d’espoir
L'écriture est agréable, les scènes pas trop hot, ni trop fréquentes,et le tout n'est pas pas vulgaire non plus. Un moment de lecture agréable, ce n'est pas transcendant, mais
le personnage secondaire d' Harry m'attire et me donne envie de lire la suite.
3 commentaires -
« Cette histoire commence avec un rejet. Pour être franche, cette histoire est ponctuée de rejets. Celui que j'avais infligé dans la cruelle insouciance de mes dix-sept ans à un garçon qui n'en méritait pas tant, et celui qui allait me renverser comme une grosse boule déterminée à abattre toutes les quilles d'un seul et sale coup. Bang. »
Qu'est-ce qui fait courir Julia Verdi, cette cadre de 37 ans haut placée dans une entreprise de bois à Montréal ?
La recherche de gloire et d'argent ?
Ses relations avec des hommes qui semblent parfaits sur le papier, mais qui la quittent les uns après les autres ?
La maladie de sa mère, qu'elle fuit ?
À force de ne pas se remettre en question, Julia court surtout le risque de finir seule et malheureuse.
Mais un soir, au coin d'une ruelle, voilà qu'une petite chienne abandonnée tourne ses yeux noirs vers elle. Qui aurait cru que cet animal allait tout changer ?Tout d'abord je remercie Babelio et les Editions Nil pour m'avoir proposé ce roman dans le cadre de Masse critique
Ma curiosité sur les nouveautés l'emporte toujours , un nouvel auteur canadienne de surcroit , une petite pensée pour mon amie Mireille et son magnifique pays, Une page de couverture sublime
J'ai donc craqué malgré le défi de rendre une chronique dans le mois, une PAL énormissime,des efforts thérapeutiques pour ne rien acheter d'autre. (Très trés difficile de soigner cette addiction aux livres , croyez moi ) et le sujet genre chick lit que je n'affectionne pas particulièrement.
Mais l'auteure m'a conquise des le premier chapitre par son style , fluide , poétique, mordant humoristique et métaphorique.
Puis c'est Julia qui m'a séduite, totalement.
Cette histoire débute comme beaucoup d'autres ,une jeune femme pour la énième fois abandonnée (la faute aux hommes bien sur) en quête ( comme de toujours ) d'un homme qui saura l’apprécier à sa juste valeur. Encore.
Julia jeune carriériste va se laisser amadouer par une bête abandonnée près de son immeuble, en l’occurrence, un boxer haut sur pattes. Et chemin faisant durant cette période transitoire (Julia n'a nulle intention d'adopter ce chien définitivement , il faudrait trop s'adapter ) Julia va découvrir Julia.
Fille ( c'est le nom du boxer) va l'entrainer dans un univers différent celui des maitres et des chiens, des marches puis des courses,(les vraies pas les métaphoriques ) des balades dans le parc , des rencontres vont se produire avec des personnes qu'elle n'aurait jamais songer fréquenter.
Donc Julia la conteuse nous entraine dans son cheminement , découvrir la deuxième chance que le destin lui offre. Étonnamment c'est David son premier amour qu'elle a jeté à l'âge de 17 ans qui va être un peu le catalyseur chez Julia. Vous pensez deja je suis sure comme j'y ai songé moi même , à nouvelle idylle entre eux ? Trop classique et stéréotypé pour notre auteure vous verrez. Oh non c'est bien plus subtil. Mais chut gardons le plaisir de la découverte.
j'ai donc beaucoup aimé cette Julia sans fard qui ne se fait aucun cadeau, grosse, égoïste, terrorisée par la maladie de sa mère qui au fil des pages se questionne énormément, pour finir par reconnaitre que toutes ces tentatives de s'accepter (comme c'est tendance de nos jours ) va se remettre en question : Et si il fallait qu'elle change vraiment ou tout au moins qu'elle s'améliore ? Et si c'était elle la responsable de ses échecs amoureux ?
Et si la vie était ce qu'on en fait et non pas le fait du destin ?
Tous les personnages secondaires de ce roman sont attachants, ils aident à l'évolution de Julia, de Francis son dernier ex à Fille en passant par David, Miss Vo et bien Rosario son meilleur ami gay très protecteur qui tente de lui faire regarder la route car demain n'est jamais promis.
L'auteur porte un regard lucide sur la société et sa description de l' univers canin est attrayant ( de belles petites scènes maitres et chiens en balades dans le parc,) je comprendrais pourquoi dans le Mot de l'auteur en fin de lecture.
C'est un roman très facile à lire de 282 pages tres
Un vrai
tout en étant assez mordant et
Et une fin surprenante et très plaisante
mais vraiment dans la dernière ligne
magistral !
Extraits et citations
" partout où il y a un malheureux Dieu envoie un chien"
Alphonse de Lamartine
" pas une seconde il ne me serait venu à l'idée de me questionner sur ce que j'avais de si bien à offrir pour mériter qu'on se dévoue à sa ma cause.pas une seconde je ne pensais à soulever le couvercle de mon panier pour m'assurer qu'il contenait ce qui ferait plaisir à l'autre au pique nique de l'amour"
" Je suis une ile , certes belle, sur laquelle ils accostent distraitement le temps de boire mon vin avant de reprendre la mer , toutes voiles dehors"
" Le Web est peut être moins romantique que la bouteille à la mer mais il est drôlement efficace."
" c'est çà quand on pense qu'on mérite le meilleur. On le laisse filer sous nos yeux trop occuper à scruter ce qu'on nous donne pas"
" l'amitié c'est une quantité phénoménale de mensonges. A la fin on ne se dit plus rien. Çà use Ce qui explique pourquoi je n'ai que 2 amis . je suis usée à la corde.De toute façon je n'ai pas le temps d'avoir des amis, je travaille"
"Celui avec qui je me suis mal comporté et qui pourtant m'a aimé de manière inconditionnelle c'est David. David est la preuve de tout ce qui est contraire à mes convictions profondes : l'amour ne fonctionne pas au mérite"
" j'ai lu quelque part que les chiens n'aiment pas quand on les regarde dans les yeux. Qu'ils reçoivent comme un geste d'intimidation. Je connais des hommes comme çà aussi"
" la souffrance est une porte verrouillée . L'euthanasie c'est la clef de la serrure"
" la vérité c'est que je n'arrive pas à aller voir ma mère de peur de l'aimer avant qu'elle meure"
"- il faut absolument une famille pour que ce chien exprime le meilleur de lui même ?
"- la si je ramène un mec à la maison, mon père va feindre la crise cardiaque, ma mère va pleurer, mon frère va vouloir se battre, ma sœur va me sermonner parce que je fait de la peine à ma mère, et le mari de ma sœur va me trainer aux putes"
" quand on me demande comment s’appelle la chienne je dis " fille" C'est anonyme, facile à retenir ...on n'abandonne pas une Maggie, une Désirée, une Princesse. Une fille oui. Çà s'abandonne bien . La preuve : moi"
"- les gens n'ont pas besoin qu'on leur dise quoi faire. Ils ont besoin qu'on écoute ce qu'ils ont à dire et qu'on le prenne en consideration avant d’émettre une opinion "
" ce qui nait du désir doit se faire avec grâce ou pas du tout"
"- j'ai réalisé quelque chose d'important. Quand on croit que çà ne vaut pas la peine de parler, quand on pense que le traumatisme est si grand qu'il est trop tard pour sauver quelqu'un que cette pêrsonne, cette âme, est dans un tel état qu'elle est perdue, engloutie pour toujours, c'est à ce moment là, précisément que çà en vaut la peine"
"pense à regarder la route. demain ne nous est pas promis"
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