•  

     

     

     

    Rien n'est plus éphémère que la mémoire d'un enfant.
    Quand Malone, du haut ses trois ans et demi, affirme que sa maman n'est pas sa vraie maman, même si cela semble impossible, Vasile, psychologue scolaire le croit.
    Il est le seul... Il doit agir vite.
    Découvrir la vérité cachée. Trouver de l'aide. Celle de la commandante Marianne Augresse par exemple. Car déjà les souvenirs de Malone s'effacent. Ils ne tiennent plus qu'à un fil, qu'à des bouts de souvenirs, qu'aux conversations qu'il entretient avec Gouti, sa peluche.
    Le compte à rebours a commencé.
    Avant que tout bascule. Que l'engrenage se déclenche. Quel les masques tombent.

    Qui est Malone ?

     

     

    Je n'étais toujours pas une inconditionnelle de Michel Bussi , comme ma sœur ou comme Marie qui vient de proposer ce tome en LC. Cependant, après Nymphéas noirs , j'ai décidé de lancer une chance à l'auteur de me séduire totalement . Et bien j'avoue que peut-être mais ...

    Ok ! Vous vous demandez donc:  mais qu'est qu'elle a encore celle-là a se plaindre ?

    Et bien c'est que j'ai toujours du mal à rentrer dans l'histoire. Il m'a fallu revenir aux premiers chapitres pour comprendre le début de l'intrigue.

    Pour le reste , j'avoue que la plume de l'auteur est très plaisante, les décors sont bien plantés et les sujets particulièrement intéressants voire fascinants. parce que je ne sais pas vous, mais moi  je me suis toujours interrogé sur la mémoire enfantine. Oui à partir de quel age a-t-on des souvenirs, ceux-ci sont ils vraiment des souvenirs, les nôtres plus exactement ou nous les sommes nous appropriés à force de les avoir entendus ?

     Il y a quelques jours ,mon fils 33 ans, me raconte une histoire, je le regarde surprise, et lui demande comment il peut se rappeler d'un évènement qui s'est déroulé 30 ans plus tôt, j'avoue que ça me laisse perplexe. Mes plus vieux souvenirs remontent à l'âge de 4 ans, avant c'est le vide total et encore comme l'explique un de nos protagonistes le psychologue Vasile , ce ne sont que des flashs très fugaces

     Donc oui cette histoire m'a particulièrement intriguée. Le tout est particulièrement bien construit,  et l'approche sur la mémoire des enfants particulièrement bien traitée.

    Nous suivons 2 enquêtes parallèles sans liens apparent entre elles. D'un  coté notre commandante s'efforce d’arrêter les responsables d'un cambriolage à Deauville qui s'est très mal terminé avec plusieurs victimes chez les truands et la police et d'un autre coté une enquête qui n'en est pas vraiment une sur une demande d'un psychologue scolaire qui suit Malone, un petit garçon de 4 ans qui ne ne cesse de répeter que sa mère n'est pas sa vraie mère.

    Pourtant tout concorde, alors délires d'un gosse ?

    Brusquement tout s’accélère et l'auteur nous entraine dans une course poursuite, celle du début de roman en fait.

    Je commence à comprendre le mode de construction de l'auteur et a l’apprécier. L’énigme est captivante et les questions commencent à pleuvoir.

    Malone a-t-il été protégé par sa vraie mère? Et si oui , pourquoi? Existe-t-il un lien entre les 2 enquêtes ? A-t-il été enlevé ? Est-il un enfant de remplacement pour une mère en mal d'enfant ?

     Au fur et à mesure nos yeux se dessillent et le fin mot de l'intrigue devient très compréhensible.

     Toutefois j'avoue que l'auteur m'a vraiment scotchée avec un final assez époustouflant et je suis séduite. A mon avis malgré le fait que j'ai un peu galéré au début , ce roman est avec Nymphéas noir est mon préféré.

     Je pense que  Michel Bussi a trouvé son rythme de croisière et surtout son style architectural, si j'ose dire. Et ce pour mon grand plaisir.

     

     

    Extraits citations

     

    "Quelqu'un que l'on aime, que l'on aime vraiment, il faut parfois oser le laisser partir loin Ou savoir l'attendre longtemps C'est une vraie preuve d'amour , la seule peut-être."

     

    " le déni du traumatisme est une forme de protection qui ne règle rien! pour vivre avec un traumatisme, il faut  l'affronter, le verbaliser,l'accepter"

     

    "mais il ne se passe pas une vie sans que le souffle la tempête et sans que tout soit à recommencer"

     

    "tu vois Gouti, les vrais trésors ne sont pas ceux que l'on cherche toute sa vie, ils sont cachés près de nous depuis toujours"

     

    © M. Bussi

     

     

     

     

     

     

    Enregistrer


    3 commentaires
  •  

     

    Nilse est beau, célèbre et adulé dans le monde entier. Il dispose des gens selon son humeur grâce à une carrière construite sur l'égoïsme et le narcissisme. En se promenant dans les rues désertes de Paris, sur un banc, il trouve un livre qui lui est dédicacé. En l'ouvrant, il ne peut soupçonner que toutes ses certitudes vont voler en éclats....parce que derrière chaque page se cache une vérité. Après ces deux premiers romans Une éternité plus tard et Elle était si jolie Nicolas Carteron signe avec Se souvenir des beaux lendemains un roman dans lequel il entraîne le lecteur en Europe pour une histoire menée tambour battant où il entremêle suspense, amour et rédemption.

     

     

     

     

    Ah ! Je vais encore une fois remercier BooKiWooki, ma copinaute  pour m'avoir fait découvrir cet auteur mais surtout Nicolas Carteron pour son talent et sa magnifique plume  qui cette fois ci nous transporte dans le monde du show-biz. Paillettes et strass vont éblouir Nilse et l'entrainer dans une course au succès et la popularité qui lui fera perdre le sens des valeurs et meme oublier ses rêves.

    C'est Louise, la seule femme qu'il a vraiment aimée , qui va l'entrainer  à travers sa propre histoire raconté dans un livre "oublié" sur un banc  de manière délibéré, dans une quête de lui même et tenter de sauver le jeune homme du gouffre dans lequel il tombe chaque jour davantage.

    Quand la vie vous offre une seconde chance il faut la saisir n'est-ce pas ?

    Dans cette romance Nicolas Carteron prône les valeurs familiales ,il nous rappelle que parfois certaines de nos actions sont irrécupérables. Il nous fait nous interroger sur le sens de la vie, la place des vraies valeurs.

    Son style et sa plume sont magnifiques, le tout addictif , rythmé et à chaque chapitre nous ne sommes surs de rien.

    J'ai douté, espéré et douté encore. Oui mes suppositions se sont révélés en partie justes, une fois que pièce après pièce  le puzzle à pris forme et que comme Nilse j'ai eu ma réponse: Où voulait donc en venir Louise ?

    Nilse est un bien odieux personnage, grossier, imbu de lui même et j'en passe, et pourtant il reste très charismatique.

     J'ai craqué pour tous les protagonistes, la mère, le père absent, la grand mère qui croit en lui Berénice la sœur, les copains, Eustache et bien sur Louise .  Sauf pour Herbert et encore, ce saligaud fait juste un peu trop bien son boulot, propulsant Nilse au sommet de la gloire. Mais tous ces artifices ne rendent pas heureux , à quoi sert un compte en banque bien rempli quand on se retrouve seul, coupé de sa famille et cerné par une faune pour qui l'on n'est pas vraiment soi-même ?

    Donc oui j'avais pressenti la fin, mais quelle importance puisque j'ai pris le plus grand plaisir  page après page à la trouver  telle que je l'attendais.

    Une fois encore Nicolas Carteron nous immerge dans un milieu particulier et il maitrise bien son sujet , j'ai beaucoup aimé  les entrées en scène de  Nilse ! Bravo!

     Un gros coup de cœur pour ce roman et encore un grand merci à Nicolas  pour cette merveilleuses aventure. J'ai à cette heure tout lu de toi, alors vite, régale nous de ton nouveau roman , j'espère qu'il avance.

    Pour infos voici mon petite classement pour les œuvres de ce jeune auteur.

     

    Elle était si jolie et Se souvenirs de nos beaux lendemains

     

    Une éternité plus tard

     

    Quand ta lettre est arrivée

     

    ☆...

     

     

     

    Extraits citations

     

    "je suis ce que je dois être et non ce que je voudrais être"

     

    "si la littérature devient élitiste alors il n'y aura plus de rêves"

     

    "il y a des choses qui ne se disent pas  Charles, il y a des choses qui se vivent"

     

    " Le surpassement de soi, ce n'est pas le désintéressement de l'autre"

     

     "la bourgeoisie se rafraichit au champagne dans une coupe de Crystal pour panser sa neurasthénie.  la ménagère elle prend un cachet effervescent dans un verre d'eau taché par le calcaire du lave-vaisselle pour atténuer son mal de crâne"

     

    " tu ne dois jamais oublier que le plus important est invisible pour les yeux"

     

    "quand on pactise avec le diable, il faut accepter son passage en enfer"

     

    "la mort ce n'est pas la pire des fins"

     

    "parfois l'abandon de soi reste la seule alternative viable"

     

    "parce que la mort n'est rien face aux reflets de l’âme"

    Enregistrer

    Enregistrer

    Enregistrer

    Enregistrer


    2 commentaires
  •  

     

     

     

    Alors qu’il était prêt à tourner le dos à sa vie de libertin pour vivre une histoire passionnelle, Max, artiste peintre, vient de connaître un cuisant échec dans sa vie sentimentale (Voir. Je t’Aime Moi Non Plus). Sous le choc depuis plusieurs mois, ne croyant plus à rien, il se laisse aller en se refermant sur lui-même.
    Entouré de ses amis, il finit par se reprendre en main et à renaître de ses cendres, tel le phénix de la débauche. El Diablo, sa petite voix intérieure, le pousse à se complaire toujours plus dans la luxure. Il revoit alors son vieux complice Jonas mais très vite, les deux hommes vont se confronter : deux Maîtres, deux façons de faire. En effet, révolté par les méthodes de Jonas, Max est prêt à bafouer tous les codes du milieu pour lui ravir la jolie Kess. Attirée par Max, cette dernière posera des conditions drastiques pour accepter de tomber sous sa coupe. Max trouvera-t-il la solution pour parvenir à ses fins ? Rien n’est moins sûr d’autant plus qu’il garde secrètement en lui le fantôme de Wélia qui le hante. Mais au fait, cette dernière a-t-elle vraiment disparue ?

     

     

     

     

    Après mon énorme pour de cœur pour Je t'aime moi non plus, j'étais dans l'attente de la suite des aventures de Max et Welia, il était pour moi et d'autres fans inconcevable que tout ce termine ainsi ,Et oui, soupirs c'est le grand défaut des fans de romances , elles rêvent toujours d'un happy-end !

    Mais Mr Max Heratz prend son temps, et nous offre en attendant (oui les filles soyez donc patientes d'autres romans, Justine et l'emprise des sens, lu et très moyennement apprécié (désoléeeeee)  Contes et Chroniques Urbaines (pas encore lu)  et ce tome pour lequel je me suis laissée tenter, un entre -deux dans lequel nous retrouvons Max qui se remet grâce à des amis de sa dépression post Welia.

    Ce roman il faut bien le préciser comme tous les romans de Max Heratz s'adresse à un public averti, tout au moins à l'esprit ouvert sur un mode de vie que certains pourraient trouver décadent. Mais où est la limite de la  normalité quand des pratiques sexuelles sont consenties ?

    Ceci est un bien autre débat quoique, c'est une réflexion que l'on peut se poser tandis que l'on suit notre personnage principal et que l'on cherche à comprendre le fiasco de sa relation avec Welia.

    Comme le dit donc l'auteur il est fortement conseillé de lire ce tome avant Kiss Kiss ( petite message à ses fans)  Toutefois, pour celles qui découvrent Max à travers cet opus , elles en comprendront les grandes lignes.

    Nous suivons donc, notre héros en phase de reconstruction entouré de Kholhy, son agent Luka, son facteur..

    Un temps l'on peut croire que notre grand séducteur  va se ranger des voitures , mais c'est bien sur sans compter sur son Diablo intérieur et Jonas.

     Nous voilà donc à suivre Max dans le dressage de la petite Thalz et dans son coup de cœur pour Kess.

    Oubliée Welia ?  A vous de le découvrir. Pour l'instant notre artiste est  au sommet de sa gloire grâce à la vente de son chef d’œuvre les 12 anneaux de Venus , et l'auteur de nous faire nous interroger sur l'identité de cet acquéreur anonyme pour une somme faramineuse.

    Il est toujours difficile à mon sens, d'évaluer un roman quand on a eu un énorme coup de cœur pour un opus précédent. Peut-être avons nous trop d'attentes et mettons ce livre sur une sorte de piédestal, et lui donnant un importance qui est difficile à égaler, avant  qu'un autre ne vienne  le détrôner ou prendre un place exæquo. Bon et bien Max Heratz ce n'est pas encore gagné. Cependant j'ai pris énormément de plaisir à la lecture de ce tome, retrouver Max et ses compagnons de route et ses nouvelles femmes.

     Allez je vais désormais pouvoir me lancer dans la lecture de Kiss Kiss !!

    Petit bémol, je trouve que la couverture est moins belle et attractive que celles des autres tomes, enfin de mon point de vue.

     

     

     

    Extraits citations

     

    " En amour la femme est comme une lyre qui ne livre ses secrets qu'à celui qui sait bien  en jouer"

    ©H. De Balzac

     

    "La vérité, comme la lumière aveugle"

    © A. Albert Camus.

     

    " Comme l'infidélité n'est pas culturelle, et toujours condamnée par les bien pensants et bien au bout d'un moment on divorce"

     

    "-par contre si l'infidélité des hommes est sexuelle celle des femmes est amoureuse."

     

    " les préjugés viennent  de l'oeil et non du  coeur "

    © Marquis de Quirion

    Enregistrer

    Enregistrer

    Enregistrer

    Enregistrer

    Enregistrer

    Enregistrer

    Enregistrer


    1 commentaire
  •  

     

     

     

    Avec en toile de fond l'Amérique provinciale des sixties, la chronique truculente du passage à l'adolescence du jeune Felix. Bourré de tendresse et de nostalgie, un roman d'apprentissage à se tordre de rire.

    Nous sommes en 1964. Le rêve américain brille de mille feux, les Beatles sèment l'hystérie sur leur passage et Felix Funicello, dix ans, se morfond dans la très catholique école Saint-Louis-de-Gonzague, dirigée de main de fer par la redoutable soeur Dymphna.

    Une année de plus à s'ennuyer ferme ? Pas si sûr. Pour une sombre histoire de boulettes de papier et de chauve-souris, soeur Dymphna est envoyée en maison de repos et remplacée par un ange. Ou plutôt par une Québécoise, Mlle Marguerite, talons hauts, jupe fendue et sourire irrésistible. Presque aussitôt suivie par Zhenya, écolière russe au caractère bien trempé et à l'éducation sexuelle très avancée...

    Entre la découverte du french kiss et les premiers frissons de l'école buissonnière, Felix va vivre une année de CM2 inoubliable...

     

     

     

     

     

    Je remercie les Editions Belfond et  Masse critique de  Babelio pour m'avoir permis de faire cette lecture. Je ne connaissais pas cet auteur et c'est donc le résumé qui m'a tenté. Je craque pour tout ce qui touche aux années sixties  Un brin de nostalgie pour une époque durant laquelle je n'étais qu'une gamine. C'est donc ces références qui m'ont motivé en premier lieu.

     A vrai dire on ne sait pas à quoi s’attendre avec cette lecture. Un Felix adulte pour des raisons que l'on ignore, nous entraine sur son chemin initiatique,  plus particulièrement son son passage de l'enfance à l'adolescente.  Certaines scènes sont amusantes voire hilarantes et le tout assez bon enfant, mais on se laisse prendre par la belle plume de l'auteur.

    Nous suivons donc  Felix Funicello, avec en toile de fond l’Amérique provinciale des années 60, tiraillée entre valeurs désuètes et modernité.

    Un conclusion avec un épilogue sur ce que sont devenus tous ces gosses formés à l'école catholique.

     Ce roman est court et même si j'ai passé un excellent moment en suivant tout à tour les personnages très charismatiques et les plus détestables , ce n'est pas vraiment ce à quoi je m'attendais. Peut-être bien trop court pour que l'on s’imprègne totalement de l'ambiance sixties comme dans Happy Day avec le voyou de Fonzie (nous avons Lonny ici, mais il est vrai que ces gamins n'ont qu'entre 10 et 12 ans)

    Le titre un peu émoustillant en version française , mais déconcertant quand on en découvre sa version VO Wishin' and hoppin'. On peut donc s'attendre a ce que notre Felix nous fasse partager ses premiers émois. Mais l'année mémorable en Cm2 est bien sage.

    Une histoire qui se lit très rapidement, légère et sans prise de tête, dont je cherche quand même un peu l’intérêt.

    Un moment agréable de lecture sans plus dirais-je.

     

     

     

     

     

     


    1 commentaire
  • After tome 1

     

    Tessa est une jeune fille ambitieuse, volontaire, réservée. Elle contrôle sa vie. Son petit ami Noah est le gendre idéal. Celui que sa mère adore, celui qui ne fera pas de vagues. Son avenir est tout tracé : de belles études, un bon job à la clé, un mariage heureux...
    Mais ça, c'était avant qu'il ne ne la bouscule dans le dortoir.
    Lui, c'est Hardin, bad boy, sexy, tatoué, piercé, avec un " p... d'accent anglais ! " Il est grossier, provocateur et cruel, bref, il est le type le plus détestable que Tessa ait jamais croisé.

    Et pourtant, le jour où elle se retrouve seule avec lui, elle perd tout contrôle...

    Cet homme ingérable, au caractère sombre, la repousse sans cesse, mais il fait naître en elle une passion sans limites. Une passion qui, contre toute attente, semble réciproque...
    Initiation, sexe, jalousie, mensonges, entre Tessa et Hardin est-ce une histoire destructrice ou un amour absolu ?

     

    After tome 1

     

    bon par ou commencer? Ah oui que After était partout, phénomène mondial, partout vanté, blogs, pages lectures, en tête de gondole dans les centres commerciaux et hop le voici proposé en lecture commune

    Bon je l'avais mis dans ma PAL deja avec l'idée de le lire , un jour... c'est donc le moment. Je donne mon avis je le dis tout de suite ou j’attends un peu ?

    Allez pas de suspens de toute façon , si je commence par parler des personnages vous aurez de toute manière vite  compris mon point de vue. Allez ! En milieu de lecture ,j'étais partagée entre,  l'envie de dire très très bof et je n'ai pas aimé, pour finir je dirais très bof. l'auteur se rattrape dans le derniers chapitres en nous assenant cette vérité à laquelle on ne peut que penser, c'est tellement utilisé déjà! Bien fait pour moi, je devrais savoir que ces livres encensés  ne sont pas toujours ce qu'ils semblent être.

    D'abord je vais dire que 564 pages en book pour arriver à cette fin (déjà ce nombre de page m'a un peu rebutée), c'est ... beaucoup mais  beaucoup trop. Voire du pur remplissage,les scènes identiques se répètent à l'infini, seul le cadre change, disputes, réconciliations , disputes réconciliations et les scènes de sexe bien sur.Bon çà n'avait pas trop mal commencé, pourtant.

    Ils m'ont fatiguée les minots, je sais bien c'est de la Young littérature, donc comportements plausibles, mais l'histoire n’avançait pas d'un pouce. Au final j'ai fait quelques sauts de pages.

    Que dire de l'écriture de l'auteure,  toujours ce style litteraire qui m'énerve, l'histoire vue par Tess.,racontée de manière factuelle.

    les personnages et bien je n'en ai pas  trouvé un seul de charismatique, Hardin est épouvantable avec ces sautes d'humeurs et Tess,je l'aurait bien secouée un peu, quelle gourde. j'ai lu une chronique qui vantait la  qualité des personnages , bien creusée, ah bon ? Parce que  je ne suis pas arrivée à définir leur personnalités au  contraire. Pire encore ,tout juste si je suis parvenue à les visualiser physiquement c'est pour dire..

    Bon alors, je tourne les pages ,j'ai  quand même envie de savoir ,  ils  vont finir ensemble dans ce tome ? Il y en 5. Seigneur! qu'est ce que l'auteur va nous mitonner pour tenir ces lectrices en haleine pendant 5 tomes , rien que çà ?

    le thème  de ce roman , euh je cherche encore, à part "je suis un peu taré, détestable  et toi tu m'amuses beaucoup et tu es un superbe défi à relever"et ah "Hardin , grâce à toi je sais qui je suis vraiment, enfin jusqu’à ce que je découvre le vrai tordu que es, et moi complètement idiote"

    Bon vous l'aurez compris pas de quoi casser 3 pattes à un canard, juste cette littérature très mode, qui séduit la clientèle visée et c'est tant mieux !Et l'auteur sait s'y prendre pour finir sur une note donnant envie de savoir la suite. Le ferais je ,  A cette je n'en sais rien encore. J'ai encore un livre  à lire pour la lecture commune Mr Mercedes de Stephen King un tout autre registre

     

    Extraits citations

     

    " nous sommes différents et pourtant nous sommes pareils. Tu m'as dit que je faisais sortir le pire en toi. Eh bien toi tu fais sortir ce qu'il y a de meilleur en moi.. Tu me donnes envie de m'engager Tu me donnes envie de devenir meilleur Je veux que me trouves dignes de toi Je veux que tu me veuilles autant que je te veux.. Je veux te faire rire et t'ecouter disserter sur tes  romans classique. J'ai juste ... besoin de toi"

     

    " seuls comptent ces mots et la façon dont il les a prononcés : j'ai besoin de toi"

     

    "il me fait passer du rire aux larmes, hurler de rire et de colère, mais, plus que tout, il me fait sentir vivante"

     

     


    1 commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires