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    Bilan d' Aout

    Lu en LC avec Gaelle

    Une saga plutôt décevante malgré les placards publicitaires aguicheurs.

    Mais qui séduira de nombreux lecteurs. Ma connaissance du milieu hospitalier  a probablement faussé la donne et j'ai trouvé la romance trop bluette. Quant au style de l'auteur, on peut s'en satisfaire, mais on peut aussi trouver mieux

    ♥ ♥ , ♥

     

    Bilan d' Aout

    Un avis mitigé sur ce roman au sujet tristement contemporain mais le tout ne n'a pas totalement convaincue

    ♥ ♥ ♥ ♥,♥

    Bilan d' Aout

    Un roman à tiroirs dont il me semble n'avoir pas su apprécier toutes les subtilités.

    ♥ ♥ ♥

     

    Bilan d' Aout

    Un livre déconcertant coté plume, l'auteure auto-édité m'ayant fait découvrir mieux.

     

    Bilan d' Aout

     

    Version éditée par Amarante Editions ce qui veut dire travail éditorial qui apporte un plus à cette nouvelle version.

     

    Bilan d' Aout

    Bon un classique encensé

     trop intellectuel et le sentiment d'avoir été dupé sur ce roman  soit disant sulfureux ! 

    Pour l'époque certainement !  Trop métaphorique pour moi !

    ♥ ♥,♥

     

    Bilan d' Aout

    Vendu comme un Best-seller, longtemps dans ma PAL.

    Un premier tome d'une dystopie que j'ai moyennement apprécié. Espérons que les tomes suivant soient à la hauteur des avis positifs .

    ♥ ♥ ♥

    Bilan d' Aout

    Coté SF et Dystopie ce roman auto-édité suprendra par sa qualité d'écriture et la cohérence de l'intrigue.

     

     

    Bilan d' Aout

     

    Une belle couverte pour un contenu plutôt décevant dans le style et dans la romance.

    Critique à venir !

    ♥,♥

     

    Bilan d' Aout

    Mon  coup de gueule

    pour cette lecture que je me suis imposée alors que rien ne m'attirait que ce soit de la couverture au résumé. Juste pour conforter ou infirmer l'avis de ma binôme. J'étais loin d'imaginer que j'en ressortirais en colère.

    Une histoire abracadabrante, des dialogues d'une banalité affligeante, des personnages caricaturaux, des idées clichés, un style scolaire et une impression de dejà lu entre 50 nuances de Grey et des romans de Maya Banks.  

    Mais le pire n'est pas là, le pire c'est le style ! Mais de qui se  moque-t-on ! 

    Notation

     

     

    Bilan d' Aout

    Chronique à venir

     

    À travers les lettres de Rose tout une histoire familiale narrée à travers la magnifique plume de Clarisse  Sabard que je découvre

    ne auteure à suivre ! 

     

     

    3 romans sont en cours et j'ai lu 3 manuscrits pour mon comité de lecture.


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  • L'épreuve :  Le labyrintheQuand Thomas reprend connaissance, sa mémoire est vide, seul son nom lui est familier... Il se retrouve entouré d'adolescents dans un lieu étrange, à l'ombre de murs infranchissables. Quatre portes gigantesques, qui se referment le soir, ouvrent sur un labyrinthe peuplé de monstres d'acier. Chaque nuit, le plan en est modifié.
    Thomas comprend qu'une terrible épreuve les attend tous. Comment s'échapper par le labyrinthe maudit sans risquer sa vie? Si seulement il parvenait à exhumer les sombres secrets enfouis au plus profond de sa émoire ...

    Editeur :   PKJ
    Genre:  Jeunesse
    Date de sortie: 04/10/2012
    Prix du livre papier :  Broché 18,50€  Poche: 7,90€
    ISBN:  2266200127 

    Existe en numérique: 12,99€ ( Mouais)

     

     

     

     

    L'épreuve :  Le labyrintheUne trilogie dans ma PAL e-book depuis ... longtemps. Un peu oubliée au profit d'autres lectures. C'est le ma fille qui l'en a fait sortir me tentant par la version ciné qu'elle vient de voir. Et comme je n'aime pas voir un film avant d'avoir lu le roman, ceci explique cela.

    Que dire de cette dystopie, de ce best-seller sorti depuis 2012 ? 

    À vrai dire je suis plutôt déçue.

    Le style de l'auteur est plaisant, fluide abordable pour des ados, mais l'intrigue ne m'a pas totalement convaincue. Un peu trop alambiquée.

    James Dashner par son imaginaire nous transporte dans un univers très fermé, celui du  labyrinthe. Nous suivions un groupe  d'ados qui a pour mission d'en découvrir la sortie. Pourquoi ? Qui les y  a poussé ?  Quelles sont les règles et comment ont elles été établies ? On ne le saura pas. Ce que l'on sait c'est que ce groupe d'ado de 13 à 18 ans, suppose-t-o, est organisé en micro-société avec des groupes dont chacun à une mission propre. Ces jeunes gens n'ont aucun souvenir de leur passé. Sauf après la Transformation.  Ce microcosme est automne, survit grâce à ses propres travaux, cependant ceux qu'ils appellent les créateurs subviennent à d'autres besoins. Ils envoient également régulièrement de nouveaux ados. Le tout est bien rythmé depuis 2 ans. Dans ce groupe pas de filles, on se demande pourquoi ?

    L'arrivée de Thomas et de Teresa va chambouler cette vie relativement tranquille et des événements vont s’enchaîner, provoquant  plusieurs drames et déclencher une sorte de compte à rebours.

    Si l'histoire est addictive car le lecteur souhaite connaitre les rôles des 2 nouveaux venus et l'issue de cette épreuve., il manque un je ne sais quoi pour me passionner pour les aventures de ce groupe.

    Pourtant on trouve dans cette histoire les thèmes récurrents des dystopies qui en règle générale me séduisent : vie communautaire, solidarité, persévérance, sacrifice et un soupçon de romance se profile à l’horizon. Donc tous les éléments pour rendre cette histoire passionnante. 

    Thomas est le personnage clef de cette énigme, avec Teresa, le lecteur le devine assez vite. Pour autant, je dois avouer que ce duo ne me touche guère. Je ne parviens pas pour l'instant à m'attacher à ses personnages.

    Le début du roman est assez poussif, et j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire. Qu'elle histoire d'ailleurs ? Je me suis longtemps demandé quels étaient les objectifs de l'auteur.

    Le groupe mène une vie assez dans cet univers assez carcéral, c'est vrai, son champ d'action est limité, cependant ils ne manque de rien. Alors pourquoi se mettre  en danger, à en mourir parfois, à revenir blessé, subir cette Transformation qui ramène des souvenirs si déplaisants que personne ne veut les partager ? Quel est l’intérêt des  Créateurs  qui ont dans un premier temps effacés leurs souvenirs ? Pourquoi leur rendre  ?

    De nombreuses questions sans réponses auxquels le dénouement ne répondra que partiellement. Pour moi tout n'est pas clair dans cette intrigue, j'ai le sentiment qu'il manque quelque chose pour rendre le tout cohérent. 

    Un tome pour moi moyennement ficelé qui pourtant a séduit de nombreux lecteurs.  Une mise en place pour la suite aux vues des révélations de l'épilogue qui laisse présager une suite plus passionnante. Du moins je l'espère.

     

    L'épreuve :  Le labyrinthe

      

     

     

     

     


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  • La longue nuit : La colonie de Haute-Terre SPLa Longue Nuit est une série en quatre volets qui s'inscrit dans la lignée de romans post-apocalyptiques tel « Malevil » de Robert Merles. Elle décrit la fin d'une civilisation, la nôtre, qui en quelques jours va sombrer dans le chaos et l'anarchie. Au c?ur de ce monde incertain et glacial, plongé dans des ténèbres permanentes, un homme et une adolescente qu'il s'est donné pour mission de protéger, vont tout mettre en oeuvre pour assurer leur survie. Le danger est omniprésent. Il faut se méfier de tout et de tous, éviter les mauvaises rencontres, se protéger, apprendre à se battre. Y parviendront-ils sans perdre leur humanité ?Un roman qui oblige le lecteur à se poser des questions. Et vous, dans quel clan seriez-vous ?

    Editeur :  Auto-édition  
    Genre: SF Dystopie
    Date de sortie: 5/08/2018
    Prix du livre papier : pas de version papier  
    Version numérique:  1,99 €
    ISBN: B07G734C95

     

     

     

    La longue nuit : La colonie de Haute-Terre SPC'est toujours un plaisir de donner son avis sur un roman. Eh bien plus encore d'aider à promouvoir un  "jeune" auteur, un indé de surcroît, qui a besoin de se faire connaitre. Seulement voilà, comme je le dis toujours haut et fort ,SP ne rime pas avec complaisance. Dès lors,que ce fait est établi, tout le monde sait que je ne tricherais pas et que mon jugement sera impartial.  Je tenais à le préciser une nouvelle fois. Le sujet qui anime la toile, dernièrement, avec des histoires de copinages et chroniques complaisantes à foison, fait débat et j'avoue qu'il me satisfait pleinement, étant jugée bien souvent comme très sévère.

    Une fois cette parenthèse fermée, venons en au roman. Eh bien je ne vais  pas attendre la dernière ligne pour vous le dire. J'ai adoré cette histoire ! C'est un énorme coup de cœur pour la plume, l'intrigue, la cohérence, et la crédibilité des événements.

    Le thème est certes vu et revu. Pour autant, Pierre-Guy Laurier traite son sujet d'une manière personnelle qui fait son charme. Dans cette dystopie, pas de jeunes ados qui vont sauver le monde. Non, ici les héros sont plutôt des anti-héros, des personnes ordinaires aux quelles n'importe quel lecteur peut s’identifier. Un seul objectif : survivre.

    C'est d'une manière très concise que l'auteure nous narre à travers un récit à la première personne,  celle d'Eric,un des protagonistes principaux, les événements qui ont  suivi la Grande catastrophe. Sa cause ? Naturelle, plus que possible. Les effets ? Réalistes ! Puisés dans les événements du passé.

    L'auteure brosse un tableau apocalypse crédible sur tous les tableaux. Ainsi nous assistons aux chamboulements climatiques, à ses conséquences sur tout être vivant sur la planète. C'est très visuel, et particulièrement bien dépeint, très photographique. 

    Mais le talent de  Pierre-Guy Laurier ne s'arrête pas là. Il sait aussi créer des personnages aux personnalités abouties. Leur faire prendre des décisions en adéquation avec les événements en cours. C'est bien sur à travers les yeux d' Eric, de ses sentiments, de ses émotions que nous vivrons ces souvenirs passés. Car c'est à distance de cette longue nuit qu' Eric en fait le récit. Combien de temps après ? Pour l'instant je l'ignore.

    La première partie peut sembler un peu longue, notre duo vivotant dans l'attente d'une aide improbable. puis au fil des pages, les événements s’accélèrent et la deuxième partie est plus rythmée. Plus angoissante aussi. Car l'auteure instille la peur, et l'on s’inquiète  pour nos protagonistes. Les rebondissements sont plus nombreux et parfaitement orchestrés pour vous tenir en haleine quant à l'issue de ce premier opus. Une fois encore l'auteure maîtrise son sujet et les scènes décrites, quelques fois violentes, sont toujours très visuelles.

     Mais ce qui porte le roman c'est le portrait  brossé  par Pierre-Guy Laurier,( plutôt sombre  et même quelque peu effrayant ), mais avec justesse de la nature humaine. Mais pourtant au vu des circonstances et des comportements de l' Homme dans des situations contemporaines, on ne peut qu'imaginer que le pire de l'individu soit la première chose, qui une fois  hors de contrôle prenne le pas sur tout le reste.  Instinct pervers, soif de pouvoir, cruauté, la peur, génèrent chaos et destruction. L'auteure maîtrise suffisamment sa plume et ses pensées pour le retranscrire suscitant ainsi beaucoup d'émotion et de questionnemenqt chez le lecteur. Et vous sombriez-vous dans le coté sombre ?  Ou vos valeurs morales parviendraient à vous protéger des ténèbres ? Ces même valeurs ne risqueraient-elles pas de vous mettre en danger, quant il s'agit de tuer pour ne pas l'être ? Jusqu'au l'instinct de survie pousse-t-il un individu ? 

    Je me suis laissée entraîner dans cette histoire addictive, ponctuée de pauses afin de me plonger dans d'autres lectures auxquelles je devais répondre rapidement pour des raisons similaires ( SP). De ce fait, quand la lecture devenait trop stressante, c'est pour dire combien l'auteur est brillant pour  susciter l'angoisse chez le lecteur, nous poussant à nous inquiéter pour nos personnages auxquels l'on s'attache très vite, je changeais de registre.

    Un grand bravo à Pierre-Guy Laurier qui a su me passionner, me tenir en haleine, m'émouvoir. Une plume poétique, fluide et descriptive sans excès qui nous permet de visualiser les lieux, nous permettant de nous approprier les paysages.  On devine un travail de recherche de l'auteur sur les effets qu'aurait une catastrophe sur la planète. Quant aux personnages, il vibrent sous sa plume, ils nous semblent si réels tellement leurs personnalités  sont habilement développées. Eric, Henri, Adèle, Chantal, Mine, Madame et tous les autres, sont touchants, attachants, émouvants. Ils semblent exister et je peine à les quitter. 

    Arrivée à la dernière page, j'ai du mal à abandonner la petite Colonie, mais je sais qu'un autre opus sera publié dans quelques mois, il me suffit de faire preuve d'un peu de patience pour découvrir la suite des aventures passionnantes  du groupe.

    Je suis totalement conquise et sous le charme de la plume de l'auteur. Hâte donc de découvrir d'autres textes. 

     PS: En fait cette chronique concerne les 2 premiers tomes me signale l'auteur. J'ai eu par chance le privilège de lire les 2 premiers opus par un (pour moi) heureux concours de circonstances.

     

    La longue nuit : La colonie de Haute-Terre SP

     

     

    Disponible ICI

     

    Extraits citations

     

    "Chaque Survivant vivait au jour le jour, à son rythme, replié en autarcie relationnelle et affective complète"

     

    " Cette solidarité, ce sens du groupe, c'était ce qui faisait leur force"

     

    "Le pouvoir rend fou, dit-on. Surtout dans ce monde où les repères n'existent plus.

     

    " la guerre a ses règles alors que La longue Nuit était une jungle régit par un principe unique : la loi du plus fort" 

     

    " Elle était mineure, j'avais presque le double de son âge. Où était les limites ? Je ne savais plus.

     

    " De quoi avions-nous peur ? De rien. De tout. De l'inconnu, de ces univers parallèles au notre et que nous côtoyions sans jamais les rencontrer."

     

    " La vie tient à peu de choses finalement, et cela est encore plus vrai depuis la Grande Catastrophe. "

     

    " Dans toute déchéance, on raccroche son orgueil à ce que l'on peut"

     

    "Un animosité palpable flottait dans l'air. Chaque Survivant était un concurrent, un ennemi en puissance dont on surveillait le chariot et l'allure à laquelle il le remplissait"

     

    "Et  soudain, un changement radical dans la faune qui hantait les hypermarchés est venu nous rappeler la fragilité et la précarité de notre survivance dans le Monde Nouveau."

     

    © Pierre-Guy Laurier.

     


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    Gisèle est une femme au caractère dur et dominateur. La vie ne l’a pas épargnée. Pour se construire, elle doit tremper dans de sales affaires. Sa vie chaotique est bouleversée par un homme de la haute société, Crash & Love LC et petite coup de gueuleAshton Curtis. Ce P. D.G., dont l’enfance s’est déroulée dans une petite bulle d’or, n’a jamais trouvé chaussure à son pied et a des critères exigeants en matière de femmes. Jusqu’à ce qu’il croise le chemin de Gisèle, Ashton pense être un homme de poigne, mais cette dernière est plus forte et plus attirante que les autres. Entre le sexe, l’amour, le danger et les affaires, il va falloir faire des choix et en assumer les conséquences. Est- ce une relation temporaire ? Le grand amour ? Les deux ? À vous de le découvrir

     

    Editeur :  Evidence Editions
    Genre: Collection Venus
    Date de sortie: 12/07/2017
    Prix du livre papier : Broché 11,65€  
    Version numérique:  0,99 €
    ISBN: 1034802704

     

     

    Crash & Love LC et petite coup de gueuleC'est plus ou moins à la demande de ma binôme que je me suis lancée dans cette lecture pour l'accompagner afin de rendre son avis plus objectif. Il lui fallait un avis éclairé pour conforter ou infirmer son point de vue très négatif sur cette lecture.

    Je ne me serais jamais lancée spontanément dans cette lecture. Tout d'abord la couverture me rebutait, oui carrément !  Il me rappelle les couv des San Antonio et je n'aime pas du tout. Le résumé ne me tentait pas et on ne peut pas dire non plus avoir vu des retours de ce roman qui auraient pu me tenter.  Cependant, comme je le dis toujours l'emballage  peut cacher  de belles surprises. Eh bien pas cette fois-ci ! Bien au contraire.

    Je voudrais rappeler que si la complaisance est une qualité, eh bien j'en suis totalement dépourvue ! Cependant je m'efforce toujours de donner des avis  aussi tempérés que possible partant du principe, que les attentes des uns ne sont pas forcement celles des autres. Mais cette fois-ci j'ai envie de pousser un coup de gueule. 

    Nous avons ici un énième roman NA, avec une pointe de thriller, une idée sympa et originale au prime abord.

    Depuis le succès mondial de E.L James , les romans du genre fleurissent sur las rayons des librairies. la romance est à la mode. Le volet érotisme touche un certain lectorat qui n’existait pas jusqu’alors. Cependant on trouve de tout, le meilleur comme le pire !

    J'avoue sans honte que j'aime ce genre littéraire et que certaines histoires m'ont émues. Cependant j'ai certaines attentes, sur le style, l’orthographe, la syntaxe et l'intrigue. J'ai besoin qu'elle tienne la route et qu'elle soit crédible.

    Hors il s'avère qu'aujourd'hui nombreux sont ceux qui se targuent de savoir écrire, de se considérer comme  "écrivain", pour avoir publié un ou plusieurs petits romans au succès limité. Comme dirait mon ami Mogwai " Vain Dieu, n'est pas écrivain qui veut !" sous prétexte d'avoir suivi une trame bien définie, pas très compliqué en New Romance. Je vais peut être me faire huer mais c'est un simple constat. En voici la trame :

    • 2 protagonistes s'y rencontrent et tombent amoureux l'in de l'autre, la plupart du temps en deux coup de cuillères à pot  après une ou deux parties de jambes en l'air torrides. Ici se sera un coup de foudre, au simple contact sur le bras !
    • Un petit jeu de je t'aime moi non plus
    • Des personnages issus de milieux sociaux différents, ben oui  l'histoire à la Pretty Woman  (romantique  à souhait) ou à la sauce Christian ( avec un peu plus de sexe) ça fait rêver et nous sort de notre quotidien avec nos problème de fric !
    • Des secrets, des passés douloureux.
    • Des rebondissements pour susciter un peu d'émotion
    • Un happy-end digne d'un conte de fée : Ils se marièrent et eurent beaucoup  d'orgasmes (euh pardon d'enfants !)

    Bon on a tout  ? Ah non, il reste à décrire les personnages,(âge, physique, personnalité), planter le décor. Bon maintenant il n'y  plus qu'à se lancer !

    Et bien ici ça pêche beaucoup. Sur tout !

    Tout d'abord les personnages  ne sont pas parfaitement identifiables, je ne sais toujours pas quel âge ils ont. Pas le plus problématique. Le pire c'est les stéréotypes.

    Le pire ? Que dis-je, non c'est le style ! Car il faut un tant soit peu connaitre la syntaxe, l’orthographe et un minimum de vocabulaire. Eh non tout le monde n'est pas une Emilie Blaine, une Sophie Jomain, ou Georgie Caldera, pour ne citer que des auteures françaises. Non pour beaucoup de "jeunes  auteures "leur plume ressemblait plutôt à celle de E.L James et Audrey Carlan ! C'est le cas ici. Bon, Lety MT va peut être en être fière vu le succès phénoménal de leurs oeuvres !  Mais ce n'est pas pour moi une référence, bien que j'ai adoré 50 nuances  de Grey, pour sa nouveauté, mais je reconnais la pauvreté du vocabulaire, cependant  l'histoire parvenait à vous faire dépasser le reste. 

    Alors peut-on écrire n'importe quoi et n'importe comment ?

    Je ne crois pas . Et pourtant, certains ne se gênent pas , persuadés,  au vu de quelques retours positifs, d'exceller et de rester sur ses positions.

    Je ne m’étonne plus de voir la romance dénigrée par de nombreux critiques littéraires. Pas surprenant vu la pauvreté littéraire d'un grand nombre de romans ! Pour autant je ne valide pas leurs attaques. J'aime la romance et j'assume. Cependant je veux qu'on me vende du rêve, mais du rêve avec des héros attachants, des décors que je peux visualiser, des situations crédibles.  J’accepte les clichés, ils sont incontournables  dans une romance, il faut juste qu'ils ne soient pas "too much".

    Ici rien de tout cela. La lecture fut pénible. Phrases courtes, cassantes. Style factuel niveau 3e. Vocabulaire pas toujours adapté, ce qui donne parfois des phrases moyennement compréhensibles. mon stylo de beta-lectrice m'a démangé plus d'une fois !

    Bon, allez ce n'est pas la première fois que je suis confrontée à ce problème, mais pou l'occulter il faut se passionner pour la romance, éprouver de l'empathie pour les personnages. Mais je n'y parviens pas, je reste là à lever les yeux au ciel à me demander ou l'auteure a bien pu trouver ces expressions !   " Un sourire a éclairer un musée" " Pret à décocher toute ma condescendance à l'opportun" (pour info le narrateur vient de se faire bousculer dans un marché bondé par l’héroïne ). Les dialogues quant à eux sont d'une banalité affligeante, phrases toutes faites, qui donnent une image inconsistante et caricaturale des personnages. 

     Nous avons donc un héros issu de la "haute société" né avec une cuillère en argent dans la bouche tout heureux d'être né du bon coté de la barrière, de ne pas faire parti " des pauvres ". Un personnage qui débite un flot de conneries montreuses à la minute et une approche du milieu mexicain par l'auteure basé sur des à priori, qui est assez méprisante.

    "C'est vrai que les habitants du Mexique sont riches ou très pauvres, mais comment font les riches pour accorder leur confiance aux très pauvres ? Une chose est sure c'est que je suis content d'être né dans une luxueuse maison"

    La pauvreté serait contagieuse ? 

    Que dire des propos tenus par toujours le même personnage sur l'homosexualité ? 

    " Je ne comprend pas ce qu'il y a de bon à se faire un autre mec. Enfin ce qui rentre en lui ne rentre pas en moi, donc chacun son truc "

    On se passerait bien de ce genre de détails  qui de plus n'apporte rien à l'intrigue. Mais l'auteure ne s’arrête pas là, elle se plait a faire émettre un nouveau jugement sur la tenue, on ne peut plus cliché, associé aux homosexuel et le portrait de Silver  tient de la caricature, Ciel nous sommes dans la Cage aux folles ! Mais au moins c'état drôle ! 

    Si nous passions la personnalité de Gisèle? Femme forte et dominatrice. Ben pour moi il ne suffit pas de le dire, il faut la faire agir en tant que telle, qu'en tant que lecteur je le ressente. Et ? Rien ! 

    En conclusion des personnages peu étoffés, qui, Ash en particulier, on a envie de baffer!

    Si nous abordions le travail de recherche de l'auteure quant elle se plait à vouloir nous faire vibrer avec quelques séquences émotions !

    J'en suis tombée de ma chaise ! Tellement elle traite ses sujets avec désinvolture. A moins qu'il ne faille que je retourne prendre des cours ou que en quelques mois après mon départ du milieu hospitalier, le traitement des asthmatiques est évolué ! Jamais rencontré au cours de ma carrière un enfant asthmatique qu'il faille opérer. De quoi d’ailleurs ? Ah pardon l'action se situe en "Amérique" et il n’existe qu'un médecin capable de faire cette intervention ! Heureusement  qu'Ash est une personne influente et friquée.

    J'ignorais également que l'on pouvait devenir stérile suite à un viol. Mes souvenirs anatomiques me font dire que c'est impossible ! Avant qu'un pénis atteigne l’utérus et les ovaires !  

    J'admets que l'on peut prendre un peu de libertés quand on écrit une fiction mais là vraiment j'ai levé au ciel à maintes reprises devant les excès.  Bon sang un peu de crédibilité et de cohérence est-ce trop demander ?

    "Je n'ai jamais acheté de voiture pour me déplacer quotidiennement parce qu'on pourrait me suivre ( euh pas en taxi ?) En revanche, j'ai une voiture  qui dort dans l’entrepôt et je vais la sortir de son cocon " 

    Bref bref bref !

    Une histoire abracadabrante, des dialogues  d'une banalité affligeante, des personnages caricaturaux, des idées clichés, un style scolaire et une impression de dejà lu entre 50 nuances de Grey et des romans de Maya Banks. Attention je ne parle pas de plagiat, mais d'idées de base développés à la sauce Lety MT mais sans grand succès. Que dire du dénouement qui ouvre la porte à un autre tome ?

    J'en reviens donc à rejoindre l'avis de ma binôme de lecture. Je devrais lui en vouloir pour m'avoir fait perdre mon temps. Bon  j’aurais au moins souri  dans certains passages .  Pour moi c'est sur l'aventure s’arrête là, je n'espère même pas que l'auteure puisse m'offrir un meilleur tome sur tous les plans.

    Un chose est certaine c'est que mon avis est a des années lumières des quelques rares  postés sur la toile.

     

     

    Crash & Love LC et petite coup de gueule

     

     

     

     

     

    Florilèges de phrases pour rire ou pleurer !

     

    1. " il m'a violée quand j'avais 5 ans ! 5 ans ! Mon utérus, mes ovaires ont été complètement déchirés"  (méconnaissance de l’anatomie)

     

    "pourquoi tu ne peux pas en avoir ? Tu as consommé trop de drogue. J'imagine que ça doit détruire tes chances de procréer. J’imagine que des personnes comme toi  doivent en consommer ! C'est bien connu. Les grossistes consomment bien leurs produits !" (A priori basé sur j'imagine)

     

    " Elle est magnifique, on dirait une héroïne"

     

    " je me demande ce qu'elle lui trouve. Elle qui est si féline "

     

    " je me demande pourquoi il s'habille pas plus chic et plus masculin " 

     

    "  je me demande  dans quelles histoires tordues et glauques il faut se retrouver pour finir comme ça.En même temps, des Mexicains, leur basse échelle sociale, la drogue est souvent responsable "

     

    " sa voix est sexy même quand il ne le fait pas exprès"

     

    " j'enfile une tenue entièrement noire. Une tenue que j'avais réussi à me procurer avec l'aide d'un ripou. Une tenue de femme, mais d'agent secret " 

     

    "le bruit du moteur est sexy et impressionnant"

     

    " - Invite le et organise nous une après réunion. Quelque chose de  festif, américain et  VIP.

    - VIP ? Ça veut dire entre hommes  ? En soirée ?  (merci pour cette définition de VIP )

     

    " Elle se positionne pour que je puisse entrer dans son petit paradis "

     

    " J'entend un vroom que je  connais"  (Euh elle a 15 ans l'auteure ?) 

     

    "Pan pan ... des coups de feu surgissent de nulle part"

     

    © Lety MT


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  • Les yeux couleur de pluie LCÉtudiante en médecine, Marie-Lou est, du jour au lendemain, affectée à Brest. Autant dire le bout du monde pour celle qui n’a jamais quitté sa Grenoble natale. Une nouvelle existence commence alors pour elle, loin des siens, de ses montagnes : il va falloir s’habituer au climat, à la région, à la collocation, aux collègues… Surtout, c’est l'insouciance et la légèreté de ses vingt-cinq ans qui vont être confrontées à la dure réalité du monde hospitalier. Une nuit, elle croisera Matthieu, interne en ORL. Ce loup solitaire, mystérieux et poétique, arrivera-t-il à lui faire une place dans sa vie ?

    Editeur :  Livre de poche
    Genre: Romance contemporaine
    Date de sortie: 1/05/2017
    Prix du livre papier : Broché 17,00€  Poche :7,20€
    Version numérique:  4,99 €
    ISBN: 225307117X 

     

     

     

     

    Les yeux couleur de pluie LCUne couverture, un titre et un résumé attractifs. En  toile de fond : l'univers médical  que je connais aussi bien que l'auteure, coté soignant cela va s'en dire. Pour autant l’intégration des internes, les relations avec les différents membres d'un service, celle avec les patients je maîtrise, j'étais cadre donc les petits nouveaux et nouvelles qu'il faut accompagner c'est, enfin c'était mon domaine. Je ne suis donc pas en terrain inconnu. C'est évident,Sophie Tal Tem s'appuie sur ses propres expériences pour nous élaborer cette fiction en créant des personnages de toutes pièces, dit-elle, avec surement un peu d'un tel et de celui-là qui a marqué son internat ou son quotidien. Et ceci rend crédible les ambiances hospitalières. Donc notre auteure nous a concocté une romance dans un domaine qu'elle maîtrise et le tout est très sympathique et nous change un peu des auteures françaises qui situent leurs histoires outre atlantique. En France aussi on a des Carter, des Abby, des Ross etc..Oui oui des super beaux et (belles) internes qui font fantasmer les petites infirmières, leurs co-intenes, les toubibs aussi ! J'ai assisté à de mignonnes romances, d'autres plus clashy dans mon petit hôpital de province. 

    Donc j'étais ravie de lire cette romance, toute attendrie par des souvenirs lointains (enfin pas tant que ça quand même) et de me plonger dans les aventures sentimentales de Marie- Lou, ses relations avec ses supérieurs hiérarchiques, ses amis, ses co-internes. Il m'a un peu manqué les interactions avec les infirmières qui sont très présentes dans un service et d'une grand aide pour ces jeunes novices dans la profession et je pense particulièrement à une scène du roman. Dommage que cet aspect là est été négligé. Il donnerait presque à penser que médecins et soignants ne se mélangent pas. Ce qui est totalement faux et les jeunes infirmières sont bien souvent les premières à fréquenter les soirées à l'internat. 

    Si ce volet hospitalier et apprentissage est particulièrement bien développé par l'auteure avec des situations anecdotiques, il en est beaucoup moins de la romance, et des relations entre Matthieu, Anna, la colocataire plutôt inexistante, que je trouve un peu trop superficiellement traitée. Tant et si bien que j'ai eu beaucoup de mal à la trouver convaincante. 

    Comment l’héroïne peut-elle s'enticher de Matthieu si peu présent, avec qui elle partage si peu de moments, pas surprenant qu'elle ignore tout de lui et qu'elle le trouve si énigmatique, avec cette distance qu'il instaure. Réponse inattendue et abracadabrante à mes yeux. Le seul rebondissement dans cette jolie histoire cousue de fil blanc dans un style simple et agréable qui se lit plaisamment sur un transat en bord,  en de plage ne demandant ni effort ni grande concentration. Mais de là à illuminer notre été comme le promet la quatrième de couverture,  à mon sens l'accroche est un peu exagérée, je ne pense pas que le souvenir de cette lecture marquera ma mémoire. Les personnages sont trop inconsistants et j'ai eu grand mal à m'y attacher.

    Je retiendrais  essentiellement la visite guidée de Brest, ses spécialités locales, les paysages alentours,Sophie Tal Men faisant la part belle à une région qu'elle affectionne puisqu'elle y vit. Pour ce qui en est de la "séquence émotion" , ce que moi je recherche d'une romance et bien, je l'attends encore. Pas que je souhaitais une histoire complexe, mais un peu plus de peps dans la relation des nos protagonistes principaux.

    En conclusion que dirais-je de ce roman  vendu comme un feel good, entre rencontres, passions, non dit-dits péripéties drôles et dramatiques... un roman plein de fraîcheur qu'on ne lâche pas ?

    Eh bien il n'a pas répondu à toutes mes attentes, car je n'y ai trouvé ni péripéties d'aucune sorte, ni passion. Il reste un petit roman léger pour l'été du genre de ceux dont on attend pas grand chose, un feel good ? Plus ou moins. Pas en tout cas le genre de littérature que j'affectionne avec cette romance  trop bluette à mon goût. Un aventure bien trop courte. Mais c 'est le premier roman de l'auteure et  je suis curieuse de lire la suite.

     

    Les yeux couleur de pluie LC 

    Les yeux couleur de pluie LC

     

     

     

     Avec Gaelle

     

     

    Extraits citations

     

     

     " Par moments, j'ai  l'impression étrange et un peu magique que tout a été tracé dans un seul but : rencontrer Mathieu"

     

    " Le poids des genes... Quelle fatalité ! Le résultat sera surement positif. Comment vont réagir les enfants "

     

    "on ne fait pas un métier facile, regrette-t-il. L'empathie que l'on ressent dans ces moments là nous rappelle que nous ne somme pas uniquement des techniciens. Cette émotion nous permet d''exercer notre métier le plus humainement possible. gardez_la elle est précieuse."

     

    © S. Tal Men

     


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