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     Au premier jour du restee de sa vie SP 

       

        A quarante-sept ans, la vie d'une femme au foyer bascule lentement dans la morosité. Plus de mari, plus d'enfants, et elle se perd dans un quotidien sans joie. Comment envisager un avenir alors que ses propres envies ne passaient que par eux, pour eux? Un nouveau départ sur une terre étrangère et une troublante rencontre bouleverseront ses certitudes. Ne serait-il pas temps qu'elle soit simplement... Caroline?

     

     

     

     

     

     Information produit

     

    • Format : Format Kindle
    • Taille du fichier : 1017 KB
    • Nombre de pages de l'édition imprimée : 460 pages
    • Vendu par : Amazon Media EU S.à r.l.
    • Langue : Français
    • ASIN: B06X9TGDQ3
    • Prix : e-book : 2,00€
    •             Broché : 12,95

     

     

     

    Je remercie l'auteure Laureline Roy d'avoir sollicité mon avis pour son premier roman. Un titre qui ressemble  à celui du film Le premier jour du reste de ta vie et celui du roman de Virginie Grimaldi, avantage ou inconvénient ? Je me demande.

    L'intrigue ne tourne pas autour des critères standard  préférés de la nouvelle  vague littéraire des nouveaux auteurs, avec leurs protagonistes jeunes beaux et sexy s'attirant l'un l'autre, aux passés  troubles et douloureux.

    Ici c'est l'histoire de Caroline 47 ans qui après une vie bien remplie de femme au foyer, se retrouve seule. Les enfants sont adultes et pris leur envol, son mari n'est plus là et elle se retrouve déprimée dans une grande maison vide, sa sœur va la stimuler et la pousser à se reconstruire en lui offrant une opportunité incroyable, un défi à relever.

    Mais comment faire face à une nouvelle vie, s'adapter à de nouvelles habitudes, s'engager dans un métier ? L'âge a-t-il de l'importance, est-ce plus facile pour les trentenaires ? A l'approche de la cinquantaine les chances de réussir sont-elles les même ? Quelles sont les chances de vivre une vie de femme, peut-on encore intéresser un homme ?  Ne devient-on qu'une mère dont les enfants n'ont plus vraiment besoin ? Peut-on encore toucher un homme physiquement et émotionnellement ?

    L'auteure aborde plusieurs thèmes et son histoire est très réaliste.  Notre protagoniste principale à 47 ans est sujette aux doutes et particulièrement  sur son pouvoir de séduction, elle est pétrie de complexes de toutes sortes ( en particulier celui de son corps)et a beaucoup de mal à se défaire d'une certaine morale puritaine. 

    Matthew est un homme sur de lui charismatique, et particulièrement beau, c'est pourquoi Caroline qui a connu peu d'hommes dans sa vie, voire un seul son mari, Antoine gère mal cette relation complexe pour elle et simple aux yeux de Matthew.

    Ce dernier semble sous le charme de Caroline mais qu'attend-t-il de cette relation ?

    Laureline Roy nous plonge dans la relation intime du couple,nous fait partager  l’épanouissement de l’héroïne à travers les relations sexuelles qu'elle entretient avec  Matthew, d’où quelques scènes assez rapprochées assez explicites qui le  deviendront moins au fil des pages.

    La plume de l'auteure est fluide et agréable, le vocabulaire varié et les scènes de sexe,  traitées avec recherche, sobriété et sans vulgarité.

    L'intrigue m'a surprise, n'ayant pas lu le résumé, je ne  m'attendais pas à des scènes érotiques poussées, mais plus à de la suggestion. J'étais plutôt dans l'idée d'un romance soft et des questionnements de notre héroïne sur sa vie après Antoine.

    Le début est un peu lent, et Caroline ne séduit pas immédiatement, puis pas à pas l'on s'attache à  elle à son couple. L'on comprend les doutes de l’héroïne très féminins, ses questionnements réalistes de cet âge et les idées très stéréotypés que l'on peut avoir sur les hommes en général et des comportements en lien à une éducation sujette à la morale judéo-chrétienne d'une génération, la nouvelle évolue bien plus vite.

    Cette génération de cinquantenaire peut facilement s'identifier à Caroline, c'est mon cas et  j'ai donc compris son attitude, ses doutes et j'ai admiré son lacher-prise et son courage. Non pas facile de rebondir et relever de nouveaux défis.

    Alors non , je n'ai pas trouvé ses comportements ambivalents, son besoin de taire ses sentiments et de s’inquiéter de ceux de son partenaire, pas beaucoup plus explicite qu'elle.

    Après donc un début un peu monotone, on se laisse entrainer dans une histoire qui devient addictive et touchante.

    Notre héroïne nous incite à croire en un futur riche et épanouissant. A l'aube de la cinquantaine la vie n'est pas derrière  nous, un Matthew peut transformer votre vie  en lui rendant son statut  de femme.

    Un roman et une auteure à découvrir.

    Mon petit bémol : je n'aime pas la couverture que je ne trouve pas assez accrocheuse et qui ne rend pas hommage au contenu.

    Cependant je serais bien en peine proposer quelque chose qui ne soit pas du genre romance guimauve.

    Une bon moment de lecture sans être un coup  de cœur.

     

     

     

                                    

     Extraits citations

     

    "-(...) Ne jamais laisser la moindre place au hasard, car le hasard peut t'enlever les personnes que tu aimes et gâcher ta vie"

     

    "-Un enfant a toujours besoin de savoir que sa mère l'aime et le soutient. "

     

    "elle est fatiguée de batailler sans cesse contre la tristesse, la solitude, le deuil, la peur d'un nouveau départ, et , en cet instant d'une relation même sans lendemain"

     

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  • Jamais deux sans toi LCLa vie de Jess est un désastre. Son mari a disparu de la circulation, son fils revient du collège couvert de bleus, et elle n’a pas les moyens de payer à sa fille, petit génie des maths, l’école prestigieuse qui la promettrait à un brillant avenir. Alors qu’elle finit par se faire à l’idée que sa vie n’est qu’une somme de galères, la chance lui sourit enfin.

    La chance, ou plutôt le millionnaire dont Jess entretient la maison de campagne. Accusé de délit d’initié, Ed est en mauvaise posture : il risque d’être ruiné et envoyé en prison si son procès tourne mal. Soucieux de s’acheter une conduite, il se propose de venir en aide à Jess. Que va donner l’addition de leurs petits et grands désastres individuels?

     

     

     

    Edition: Milady Editions
    Pages : 480 pages
    ISBN: 9782811213008
    Prix : 18,20 € broché
    Date de sortie : 24/10/2014
    Genre / Public : Romance

    Existe en e-book et poche

     

     

    Comme de coutume impossible pour moi de passer à coté d'un Jojo Moyes. Pour autant depuis Avant toi, je n'ai pas plus ressenti autant d'émotions  à la lecture des autres romans de cette auteure.

    Cependant la lecture reste des plus plaisante, l'auteure nous séduit par ses mises ne scènes et ses personnages charismatiques, menant des vies des plus réalistes.

    Ses héroïnes se débattent dans des problèmes financiers, gèrent les enfants, sont souvent seules (essentiels dans une romance), c'est un peu un thème récurent chez cette auteure et  l'on ne s'attend pas à du classique à la mode, coup de foudre entre deux personnes de classes sociale différentes. Non chez Jojo Moyes la romance se construit patiemment et évolue à un rythme réaliste.

    Donc ici pas de coup de foudre entre nos deux protagonistes principaux au contraire, tout les sépare. pour autant par un concours de circonstances Ed va venir en aide à Jess , se sentant redevable. Une équation à deux inconnues, qu'aurait pu en dire  notre très brillante  Tanzie, qui ramène tout aux mathématiques?

    L'auteure nous entraine dans un road-trip à travers l' Angleterre afin de permettre à la gamine de participer à des Olympiades de mathématiques, épreuve qui pourrait transformer la vie de cette famille.

    Les enfants pour Jess passent avant tout, même Nicki, le fils de son mari dont elle a rarement des nouvelles et qui l'a lâchement abandonné. La vraie vie !

    Une approche de la cellule familiale recomposée, avec des enfants qui s'adaptent de manière incroyable à leur quotidien difficile et une maman qui s'efforce de gérer des situations compliquées, tirant la corde par les deux bouts, s'efforçant de maintenir un bien être précaire et une bonne humeur constante, avec l' espoir que la roue va tourner favorablement.

    "de bonnes choses finissent par arriver aux gens bien. Il suffit d'y croire"

    C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai suivi cette équipe assez déjantée avec ses personnages hors du commun. Jojo Moyes traite de sujets douloureux du quotidien, de cette différence qui dérange, de la nature humaine qui manque énormément de tolérance, isolant les "pas comme les autres". Nicki en fait les frais (bien plus que la petite Tanzie, enfin pour l'instant).

    Toute cette petite tribu est très attachante et les enfants sont particulièrement touchants.

    la plume de l'auteure est toujours belle, cependant l’histoire ne suscite pas autant d'émotions qu' Avant toi, qui restera un roman culte pour moi.

    Néanmoins la lecture de celui-ci est très addictive, les personnages portent l'aventure et vous entrainent dans cette belle histoire de destins croisés.

    Jojo Moyes nous régale avec ses dialogues, particulièrement les échanges de la petite Tanzie, c'est drôle prêtant à sourire et rire parfois, surtout si l'on n'oublie le chien Norman. Il y a de l'émotion bien sûr. On ne peut rester insensible à la lutte de cette jeune femme particulière optimiste malgré les épreuves. Face à elle un Ed qui va voir sa vie bouleverser par cette femme pas vraiment de celles qu'il a l'habitude de fréquenter.

     

     Marie

     

    Extraits citations

     

    "les vrais amis étaient ceux avec qui on pouvait reprendre là où on en était resté, que ce soit une semaine ou deux ans plus tard"

     

     

    "quand on rabaisse quelqu'un  en permanence, il finit par ne plus écouter meme les conseils les pus avisés"

     

    "- en fait être riche c'est de ne pas être obligé de penser constamment à l'argent

    -Tout le monde pense à l'argent , meme les riches"

     

    "Jess ne pouvait s’empêcher de penser que les gens qui voyaient l'argent comme un détail étaient ceux qui n'avaient jamais eu à sen préoccuper"

     

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    La dernière des Stanfield LC

     

    Ma vie a changé un matin alors que j'ouvrais mon courrier. Une lettre anonyme m'apprenait que ma mère avait commis un crime trente-cinq ans plus tôt. L'auteur de cette lettre me donnait rendez-vous dans un bar de pêcheurs sur le port de Baltimore et m'ordonnait de ne parler de cette histoire à personne. J'avais enterré Maman à Londres au début du printemps ; l'été s'achevait et j'étais encore loin d'avoir fait mon deuil. Qu'auriez-vous fait à ma place ? Probablement la même erreur que moi. Eleanor-Rigby est journaliste au magazine National Geographic, elle vit à Londres. Un matin, en rentrant de voyage, elle reçoit une lettre anonyme lui apprenant que sa mère a eu un passé criminel. George-Harrison est ébéniste, il vit dans les Cantons-de-l'Est au Québec. Un matin, il reçoit une lettre anonyme accusant sa mère des mêmes faits. Eleanor-Rigby et George-Harrison ne se connaissent pas. L'auteur des lettres leur donne à chacun rendez-vous dans un bar de pêcheurs sur le port de Baltimore. Quel est le lien qui les unit ? Quel crime leurs mères ont-elles commis ? Qui est le corbeau et quelles sont ses intentions ? Au c?ur d'un mystère qui hante trois générations, La Dernière des Stanfield nous entraîne de la France occupée à l'été 44, à Baltimore dans la liberté des années 80, jusqu'à Londres et Montréal de nos jour.

     

     

     

    Le dernier Levy est arrivé !

    On ne pourra pas vraiment dire que c'est son meilleur cru, je ne sais pas mais avec le temps, la mouture ne se bonifie pas, bien au contraire et des mes premiers mots, je vais l'avouer, cette lecture ne fut pas un grand moment de plaisir, elle n'a pas non plus été douloureuse.  J'ai découvert cet auteur  avec Toutes ses choses que l'on ne s'est pas dite, une magnifique aventure qui m'a transportée et donner envie de suivre cet auteur, mais au fil du temps comme  pour Musso les coups de cœurs deviennent rares.

    Pour celui ci j'ai vraiment hâte de lire la chronique de ma binôme Gaëlle pour confronter nos avis, m'assurer que je n'étais pas à coté de la plaque.

    Un démarrage laborieux pour une intrigue au style poussif, embrouillé, trop de temps et de modes narratifs differents, des flash-back entre 2016 et 1980 qui m'ont perdue en route, au point qu'il a fallu que je fasse marcher arrière.

    Il faut parvenir à la deuxième partie pour que cette intrigue commence à prendre du sens et que le thème apparaisse clairement : que sait-on du passé de nos parents, qui se cache sous l'image sage qu'ils nous renvoient, quels sombres secrets cachent-ils ?

    Nous nous retrouvons donc face à plusieurs personnages importants et partageons donc d'un coté une histoire passionnelle entre deux femmes et celle de la dernière des Stanfield (pas tant la dernière que ça, n'oublions pas Maggie) qui va découvrir le passé de sa mère.

    Dans sa quête elle va rencontrer Georges-Harrison qu'un même anonyme va lancer sur les traces de son père inconnu.

    La trame de l 'intrigue est certes intéressante, cependant la combinaison est assez alambiquée, les personnages complexes tant et si bien que je n'ai pas vraiment compris ni trouvé réaliste cette passion entre Stella et May.

    Pour ce qui en est des personnages d'une manière générale, pas moyen de ressentir quoique ce soit, pas d'attachement, pas d'émotions.

    A partir de la moitié du roman, c'est la curiosité qui vous gagne, avec cette question ? Qui est qui ? Que c'est-il réellement passé en 1944 dans cette ferme isolée de France ? Je pressent quelques suppositions qui se relèvent justes.

    Reste une question qui ne trouvera sa réponse que tout à la fin , qui est le corbeau et pourquoi cette mise en scène ?

    J'avoue que ce dénouement m'a surpris, m'intriguant davantage car à mon sens, il manque des éléments pour le rendre réaliste.

    Comment pouvait-il connaitre l'existence de Georges-Harrison et d'autres éléments et cette fin me semble tronquée et trop inattendue, car peu réaliste.

    Pour conclure je dirais que je ne partage pas l'avis Philippe Chauveau qui dit en quatrième de couverture : « Entre émotion et suspense : un jeu de piste haletant. » parce que je cherche encore le coté haletant,l'émotion et le suspens

    J'ai plutôt suivi cahin-caha l'histoire d'une saga familiale aux personnages peu attachants, aux réparties fades et sans grand intérêt. Le seul protagoniste attachant est le père.

     

     

     

    Extraits citations

     

    "un vieillard qui meurt c'est une bibliothèque qui brule"

     

    "-je ne peux pas être malheureux, je n'ai aucune idée de ce qu'est le bonheur"

     

    "-prends le plaisir ou il se trouve et surtout quand il se présente. Tu réfléchiras ensuite"

     

    "une histoire d'amour c'est une rencontre entre deux donneurs"

     

    "il y a trois versions à une histoire : la vôtre... la mienne... et celle qui est vraie.

    Personne ne ment" ©Robert Evans

     

    ©M. Levy

     

     

    Gaelle

     

     

     

     

     

     

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    Antoine Leiris a perdu sa femme, Hélène Muyal-Leiris, le 13 novembre 2015, assassinée au Bataclan. Accablé par la perte, il n’a qu’une arme : sa plume.
    À l’image de la lueur d’espoir et de douceur que fut sa lettre « Vous n’aurez pas ma haine », publiée au lendemain des attentats, il nous raconte ici comment, malgré tout, la vie doit continuer.
    C’est ce quotidien, meurtri mais tendre, entre un père et son fils, qu’il nous offre. Un témoignage bouleversant.

    Ancien chroniqueur culturel à France Info et France Bleu, Antoine Leiris est journaliste. "Vous n’aurez pas ma haine" est son premier livre.

     

     

     

    Pour tout dire j 'étais assez réticence pour cette lecture, pour une raison simple, je l’appréhendais !

    Personne n'ignore à ce jour  ce drame qui a frappé cette famille ordinaire , ni la lettre qui a fait le tour de la planète par l'intermédiaire de Facebook.

    Je me suis laissée convaincre de participer à cette LC avec Gaelle et Anne.

    Que dire !

    Que j'ai pleuré comme une madeleine . La plume magnifique de ce journaliste qui sait admirablement jouer avec les mots pour nous transmettre ses émotions son ressenti sont justes et même s'il hurle la  douleur  de la perte qui l'envahit au risque de le détruire, il garde un espoir indéfinissable en la vie et l'amour.

    Ce journaliste ne crie pas vengeance, il cherche à se reconstruire, songe à la vie devant soi, une nouvelle vie à deux, enfin presque puisque pour toujours Maman est là ! 

    Dans ce livre super court, dans lequel est intégré la fameuse lettre, il nous narre les douze premiers jours «d’une vie à trois qu’il faut poursuivre à deux».

    Il décrit avec justesse la difficulté après un tel  drame de rependre pied dans la réalité, celle des autres et la sienne aussi , comme ce releveur de compteur EDF et ce passage en est touchant :

    « Il entre avec ses gros sabots de vivant"

    Et nous glisse au passage que la perte  brutale d'un être aimé quelque en  soit la cause, accident, attentat est la même pour tous. Le fait de trouver un coupable l'allège-t-il ? Il ne le pense pense pas, mais comprend que certains puissent en avoir besoin.

    "la mort attendait sa mère ce soir là, eux n'étaient que des ambassadeurs"

    Antoine Leiris et Melvin vous donnent envie de les protéger, les aider mais surtout de tirer parti de la force intérieure de cet homme extraordinaire pour qui l'amour est plus fort que la Haine et je l'admire pour sa force de caractère.

    J'espère que ce journaliste si talentueux nous offrira un jour, un autre livre à lire puisqu'il semble que l'écriture fut, un temps un de ses projets, et nous enchantera par ses mots et son style dans une autre aventure, ce qui confirmera qu'il est parvenue à mettre un pied dans la vie, la vie à sa porte avec Melvin. Ce petit Melvin  qui le pousse en avant.

    Un témoignage qui ne baigne pas dans le mélo et d'une grande dignité.

    Merci a vous Antoine !

    Merci à  ma binôme Gaelle pour m'avoir incité à  participer à cette lecture.

     

     

     

     

     

     

     

    Extraits citations

     

    "Ce livre est presque  terminé.

    Il ne me soignera pas On ne se soigne pas de la mort. On se contente de l'apprivoiser"

     

    "Qui sait seulement ce qu je deviendrai demain lorsque mon chagrin m'aura laisser tomber ?"

     

    "Lorsque chacun sera retourné à sa vie, nous vivrons toujours avec . Cette histoire ce sera notre histoire, la refuser serait se renier"

     

     

     

    LC Gaelle et Anne

     

     

     

     

     

     

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    Grisha Bruskin vit à New York (Manhattan), au cœur de Soho. Peu après la chute du régime soviétique, ce grand artiste new-yorkais d’origine russe a connu la notoriété internationale, de façon surprenante, lors d’une première mise aux enchères d’œuvres d’art d’artistes russes, organisée à Moscou. Depuis lors, il expose dans le monde entier ses tableaux, tapisseries, installations, sculptures, qui tissent un lien esthétique original entre le monde soviétique et le monde judaïque et occidental. Son immense talent a été salué par les galeries et les collectionneurs en Europe, en Russie et en Amérique.

    « Comme au cinéma » raconte, avec tendresse et poésie, l’histoire de sa famille, dans laquelle, inévitablement, se mêlent son histoire personnelle et amoureuse et celle du peuple russe. Les nombreuses photos d’archives, souvent drôles et émouvantes, qui illustrent cette saga familiale, donnent au livre un aspect cinématographique qui en font un objet à la fois littéraire et artistique – une histoire et une vie sentimentale et savoureuse racontée en mots et en images.

     

     

     

     

    Vous connaissez Grisha Bruskin ? Et bien moi pas du tout. Comme je suis une grande curieuse, je me suis laissée tentée par la page de couverture.

    L’originalité de ce roman est dans la manière de nous la raconter. Des poèmes et des photos, bien sychro, tout ce dit par le regard que l'auteur porte sur les images de son passé, sur sa famille.

    On chemine ainsi avec l'auteur  et j'avoue que c'était émouvant de feuilleter avec lui son album de famille de partager ses souvenirs  est ses  propre émotions. C'est assez nostalgique.

     C'est une œuvre qui se faut prendre le temps  d'ouvrir, il faut se poser, bien regarder les photos pour comprendre les mots qui vont avec. J'avoue que j'ai eu beaucoup de plaisir à découvrir toutes ces images sépias vestiges d'un temps révolus (j'adore les vieilles photos, sépia ou noir et blanc elles rendent quelque chose de particulier, je trouve que ça donne aux anonymes un coté star , oui comme au cinéma) .

    A travers ces images et les textes qui vont avec , l'auteur nous fait cependant partager les drames d'une vie, et les moments de  joie aussi.

    La grande difficulté que j'ai rencontré est lié aux noms russes, je me suis un peu perdue parfois dans cette grande famille. Cependant la manière de conter sa vie est très originale et l'on assiste bien aux moment joyeux et tristes de la vie de l'auteur.

    Une découverte intéressante d'un personnage public qui m'était inconnu. Merci encore à Babelio , Masse Critique et les Editions La Baconnière, le livre est très beau.

     

     

     

    Comme au cinéma

     

    35. Un livre auquel je me fie à la couverture (défi 2015)

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