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    La saveur de nos vie Masse critique Jacques Kahn, chef star multi-étoilé, mène sa famille comme ses entreprises : à la vitesse de ses ambitions boulimiques.

    La poursuite du rêve de sa vie – l’ouverture d’un hôtel à Marseille – le rend suspect d’une gigantesque opération de blanchiment qui manque de faire vaciller son empire et le conduit en prison.

    Eva, la plus distante de ses filles, galeriste à Paris, se trouve à son tour prise dans la tourmente. Cherchant à faire la lumière sur les affaires de son père, elle va rencontrer l’amour et se heurter à de lourds secrets familiaux.

     

    La saveur de nos vie Masse critique J'admets être assez exigeante dans mes attentes au niveau écriture, que je ne suis pas fan des phrases courtes, (à la mode, semble-t-il), ni des styles scolaires, ni de l'emploi excessif du verbe être et avoir. Eh bien, ici, j'étais  servie. Cela commençait plutôt mal. Et quand le "petit boulet" en la matière, que je suis ( j'accepte ce petit nom gentillet de ma pote) est à même de voir que la ponctuation fait défaut à l'auteure, franchement , c'est le pompon.

    Rédhibitoire, direz-vous ? 

    Non, comme je le dis toujours, je parviens à occulter le style dans les histoires prenantes. Malheureusement, j'ai beugué dans le premier tiers. J'ai peiné à entrer dans l'histoire, à m'attacher aux personnages. Cahin caha, j'ai péniblement avancé jusqu'à ce que le récit devienne intéressant et m'intrigue. Intrigue et secrets de famille qui ne m'ont pas plus touchée que çà, et une fois dévoilés, l'histoire redevient monocorde. La petite romance en parallèle ne m'a guère passionnée non plus. Ce roman aborde tout et rien. 

    Roman qui, à mon goût, manque de peps. Le résumé était tentant et prometteur, cependant je n'ai pas trouvé dans les descriptif des personnages ce qui était annoncé.  Le déséquilibre entre dialogues et récit ne permet pas de prendre la mesure de la psychologie des protagonistes, bien trop centrés sur des échanges factuels et les héros bien peu brossés. Quant à l'intrigue, l'on s'attend à des révélations bouleversantes et pour terminer l'on se retrouve avec un pétard mouillé. En bout de course on ne connaitra pas vraiment les motivations de Myriam. 

    À mon sens l'auteure ne s'est pas assez détachée de l'histoire vraie de départ pour la rendre passionnante en jouant davantage sur le coté fiction. Au final l'on se retrouve avec une aventure tristement banale qui suscite bien peu d'émotion et d'intérêt. Bien évidement ceci n'est que mon ressenti et n'engage que moi. 

    Je remercie les Editions l'Archipel et Masse Critique Babelio, et regrette de ne pouvoir donner un avis positif pour ce premier roman de Elmalek Deborah.

    De ce fait, je devrais, peut-être, me montrer plus indulgente, mais cela ne serait pas très équitable, ni honnête de ma part. 

    PS très jolie couverture par contre.

    La saveur de nos vie Masse critique

     

    L'auteur : 

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  • Rebecca LCUn manoir majestueux : Manderley. Un an après sa mort, le charme noir de l’ancienne propriétaire, Rebecca de Winter, hante encore le domaine et ses habitants. La nouvelle épouse, jeune et timide, de Maxim de Winter pourra-t-elle échapper à cette ombre, à son souvenir ?
    Immortalisé au cinéma par Hitchcock en 1940, le chef-d’œuvre de Daphné du Maurier a fasciné plus de trente millions de lecteurs à travers le monde. Il fait aujourd’hui l’objet d’une traduction inédite qui a su restituer toute la puissance d'évocation du texte originel et en révéler la noirceur.

     

    Je crains de ne pas parvenir à traduire par des mots mon ressenti. Parce qu'aucun ne semble assez fort et juste pour le retranscrire. 

    Voici donc, un avis de plus pour ce magnifique texte que la maîtrise de l'écriture, la manière originale de Daphné Du Maurier aborde son récit, subliment.

    Même si dans les premiers chapitres l'on connait plus ou moins le sort du manoir, rien ne laisse présager le final. Rien ne nous prépare à la chute.

    En cours de lecture, quelques vagues réminiscences m'ont laissé entrevoir que j'ai visionné l'interprétation cinématographique, mais de simples flashs, trop brefs pour me remémorer toute cette histoire. Le seul souvenir que j'en ai,  est celui de Rebecca, femme décédée dont la marque indélébile plane sur Manderley. Et c'est tant mieux, puisque j'ai ainsi pu apprécier pleinement cette intrigue.

    Plus on avance, plus la découverte de la vérité rend l'ambiance insoutenable. L'on s'attache à la jeune épouse parachutée dans un milieu qui n'est pas le sien, maladroite, manquant de confiance en elle, et ignorant le passé de son époux.

    L'on peut s'interroger sur sa naïveté, sur son amour pour un homme d'au moins 20 ans son aîné et la profondeur de leurs sentiments  réciproques, tant Maxim nous parait détaché, froid, distant. Pour bien accepter la crédibilité d'une telle situation il ne faut pas oublier le contexte social et la période choisie par l'auteure pour poser cette intrigue haletante et addictive. 

    Au prime abord, le démarrage peut sembler un peu lent. Mais dès l'arrivée à Manderley la « présence » invisible de Rebecca est immédiatement perceptible, comme de son vivant, lorsqu'elle dominait le ménage et la maisonnée ; présence toujours plus obsédante, renforcée en cela par Mme Danvers, « jouant » constamment avec la narratrice, la faisant développer nervosité et doutes sur son statut dans le ménage.  Dès lors le rythme s’accélère et l'auteure nous tient en haleine, titille notre curiosité sur le sort de Rebecca, voire de l'avenir du couple. 

    L'auteure dépeint avec brio le contraste frappant entre les 2 femmes aux personnalités diamétralement opposées : 

    "Rebecca foudroie les yeux et les coeurs ; Elle passe inaperçue.
     Rebecca fascine ; Elle voudrait tellement plaire.
    Rebecca à le monde à ses pieds ; Elle est tellement timide et effacée qu'en racontant sa troublante histoire, Elle préfère rester anonyme.
    Rebecca s'amuse des hommes ; Elle aspire à être une bonne épouse.
    Rebeccast fougueuse ; Elle est placide.
    Rebecca est tellement spirituelle et drôle ; Elle est gaffeuse, un tantinet nigaude aussi…
    Rebecca est forte et hardie ; Elle est cagnarde et craintive.
    Rebecca est morte, et sa vie brève a laissé des souvenirs flamboyants ; Elle est en vie, et se traîne ici-bas, aussi maladroite et pusillanime qu'on peut l'être."

    Comment donc lutter contre un fantôme et donc contre lequel on ne peut donc se battre à armes égales ? Rebecca a marqué Manderley et les ses proches d'une empreinte indélébile. Pour autant, l'entourage de Maxim n'apportera aucun renseignements sur l'absente, l'auteur nous intrigue en distillant au compte goutte des informations et maintient un climat stressant tout le long du récit jusqu'au dénouement qui nous apportera toutes les réponses.

    Que dire ce clap de fin qui nous scotche, tant et si bien que je n'ai su  durant quelques secondes si j'en voulais davantage, ou si cette chute grandiose ne pouvait que se suffire à elle même.

    Énorme coup de coeur pour ce classique à lire absolument pour découvrir la plume poétique de l'auteure qui brosse de ses mots des paysages et des décors aussi visuels que la toile d'un peintre, des personnages aux personnalités complexes et abouties.   

    Cette lecture le donne très envie de découvrir d'autres œuvres de cette auteure, d'autant que je viens de découvrir qu'elle est l'auteur Des Oiseaux, autre sublime film Hitchcock.

     

     

    L'auteur

    Nationalité : Royaume-Uni
    Né(e) à : Londres , le 13/05/1907
    Mort(e) à : Par (Cornouailles) , le 19/04/1989
    Biographie :

    Daphne du Maurier (francisé en Daphné) est une romancière, nouvelliste et dramaturge britannique.

    Élevée dans une famille londonienne aisée, elle est la fille de l'acteur Gerald du Maurier et la petite-fille de l'écrivain et dessinateur George du Maurier, ami de Henry James et auteur notamment de "Trilby".

    Daphné Du Maurier écrit ses premières pages dignes d'être publiées à l'âge de dix-huit ans. Elle publie son premier roman, "La Chaîne d'amour", en 1931 et épouse l'année suivante le général de division Frederick Browning.

    Le roman de Daphné du Maurier le plus connu est certainement "Rebecca" (1938), l’histoire du mariage d’une jeune femme avec un veuf riche et mystérieux. Œuvre saluée par la critique, qui lui apporte la gloire.

    Trois de ses écrits sont portés à l'écran par Alfred Hitchcock : "L'Auberge de la Jamaïque" (1936), adapté au cinéma sous le titre "La Taverne de la Jamaïque" en 1939, "Rebecca" (1938), adapté au cinéma en 1940 et "Les Oiseaux" (1952), adapté au cinéma en 1963.

    Elle évoque dans "Les Souffleurs de Verre" (1963), les origines françaises de sa famille. En 1969, elle est anoblie, avec le titre de Dame de l'Ordre de l'Empire britannique par la reine Élisabeth II.

     


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  • BoulitudeJustine a bientôt 20 ans, des parents qui ne se parlent plus et un petit ami très amoureux. Elle va entrer à l'Université. Au seuil de sa nouvelle vie, elle se sent légère, 45 kilos sur la balance, le visage et le corps qu'elle a toujours voulus, rien de mou, rien de laid. Mais plus l'hiver approche, plus elle s'enfonce dans un épais mal-être et perd ses repères. Elle n'a plus qu'une vision floue de son avenir tandis qu'autour d'elle, les autres semblent au contraire savoir exactement ce que sera sa vie.
    Alors, la nuit, pieds nus dans la cuisine, elle ouvre le frigo et avale, avale, avale... Une plongée sans concession dans une année de la vie d'une jeune femme en pleine confusion. Quand 20 ans est l'âge des doutes, de la solitude, de l'errance affective et des dépendances alimentaires.

     

    BoulitudeMalgré le sujet touchant, je n'ai pas adhéré à la manière de l’appréhender de l'auteure. Le style atypique n'y a pas aidé : absence de chapitres, absence de temporalité, et des personnages assez inconsistants que j'ai peiné à visualiser tant physiquement que psychologiquement. Certaines relations sont peu définies, je pense à celle avec Benoit, avec Catherine et je me retrouve avec une sensation de manque, tant je ne comprends pas ce que le jeune homme, (si jeune homme est-il),  attend de Justine qui, elle avance pas à pas sans savoir ce qu'elle désire.

    Pour ce qui est de la plume, même si je ne suis pas fan de phrases courtes et de leur effet factuel, j’admets qu'il donne un effet incisif, de répétitivité, de lassitude et traduit le sentiment et le quotidien de l’héroïne. Cependant, je ne suis pas parvenu à éprouver une quelconque émotion pour ce personnage en souffrance qui passe de l'anorexie à la boulimie, ni ressentir son mal être. Quand à la fin, j'avoue que je ne suis pas friande de fin ouverte qui laisse tout entendre et rien. 

    Le roman est très court, se lit aisément étant écrit dans un style simple, dont je ne suis pas personnellement adepte,  et laisse transparaître l'ennui, voire la dépression, d'une jeune femme dans une sorte d'acceptation de son quotidien le subissant, jusqu'à ce soudainement il se passe on ne sait quoi dans sa tête, provoquant les divers déclics et  changement des comportements inhérents à ses troubles alimentaires. Mais celui que je n'ai pas du tout saisi est le celui du clap de fin.

     Malgré ce retour traduisant ma déception, tant au vu du thème déjà abordé par plusieurs auteurs, je m'imaginais en ressortir émotionnellement touchée),  remercie les éditions 5 sens et masse critique Babelio pour m'avoir entraînée dans cette aventure livresque.

     

    Boulitude

     

    BoulitudeL'auteur : 

     

    Née à Genève en 1966, Francine Collet a été journaliste pendant dix ans avant de bifurquer vers la formation d’adultes. Depuis 2006, elle anime également des ateliers d’écriture en Suisse et en France. Elle vit en Haute-Savoie et a déjà publié plusieurs recueils de nouvelles et romans.


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    Sørjevik, Norvège, 871

    Comme une aurore dans la brumeHaakon est furieux. Son jarl et meilleur ami, Loken, lui a imposé de s’occuper de la captive qu’ils ont repêchée en pleine mer du Nord jusqu’à ce qu’ils aient pu obtenir sa rançon. Or, la naufragée refuse de décliner son identité et sa beauté éveille en lui autant de souvenirs douloureux que son caractère l’insupporte.
    L’hiver approche. Si elle ne parle pas maintenant, toute tentative de rançonnage sera reportée et il devra la surveiller jusqu’au printemps. Et ça, c’est strictement hors de question. Parce qu’elle est intenable, caractérielle et… aussi désirable qu’interdite.
    Quant à la jeune femme, elle semble bien décidée à ne pas lui rendre la tâche facile, à bien plus d’un égard…

    Un voyage au cœur des fjords du Rogaland, au temps des grandes expéditions vikings, des guerres entre clans et royaumes scandinaves et de l’exploration maritime des nouvelles voies du nord.

     Editeur : Auto-édition
    Genre: Romance historique
    Date de sortie : 4/0/2018
    Prix du livre papier :  Broché : 9,90€ 
    Version numérique: 3,99 
    Nombre de pages :  282

     

     Comme une aurore dans la brume SP

    L'auteure, qui semble avoir un fort penchant pour les histoires des Vikings, nous entraîne dans une romance historique sympathique, beaucoup plus tempérée sur le coté descriptions que les derniers ouvrages lus précédemment. Elle parvient désormais à trouver l'équilibre parfait, brossant les décors et les ambiances de manière suffisante pour planter la toile de fond, nous faire découvrir les terres scandinaves, les us et coutumes de tout un peuple. C'est culturellement intéressant et au fil des tomes sa maîtrise s'est affinée. 

    Ce qui donne une histoire bien construite et ficelée qui néanmoins reste dans le même registre que les précédents romans. Ses romances s'adressent donc au fan du genre et des beaux Vikings qu' Aurélie Depraz dépeint sous un jour peu commun, bien loin des barbares.

    Son roman s'appuie des événements historiques qui poussèrent certaines tribus nordiques à s'installer en terre d'Islande tandis que d'autres subissaient l'unification de la Norvège sous le roi Hérald à la belle chevelure. Un roman donc riche en enseignements sur une période plutôt méconnue et un volet historique passionnant.

    La plume de l'auteure est belle et poétique, le style plaisant et la lecture est fluide.

    Le déroulement et le dénouement restent très prévisibles, agrémentés de quelques rebondissements pour certains inattendus. Les personnages sont sympathiques et attachants, les relations un peu chaotiques et l'on se laisse porter par le récit et l'on passe un agréable moment de lecture sans prise de tête tout en se cultivant et l'on peut aller plus loin encore en suivant l'auteure sur son site ou tout simplement en faisant ses propres recherches.

    Etant une fan de l'Ecosse et de l'histoire de France, j'espère qu' Aurélie Depraz nous proposera d'autres aventures romanesques des ces registres, avec des beaux Highlanders qui me feront rêver. Je crois avoir fait le tour pour l'instant du monde Viking.

    Je la remercie, néanmoins pour ce partenariat SP, qui m'a permis de découvrir sa plume  et son univers.

     

    Comme une aurore dans la brume SP

     

    Pour suivre l'auteure c'est ICI 

     

     

     

     

     

     

     


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  • La vie sentimentale de Julie ? Un désert, une catastrophe. La preuve : elle est seule le soir de son trentième anniversaire, avec pour seule compagnie une bouteille de vin. Elle n'a rien d'autre à faire que de se demander pourquoi ça n'a jamais marché avec les hommes...
    À minuit une, l'heure exacte de sa naissance, elle attrape un cupcake qui traîne dans son placard, plante une bougie dessus et fait un vœu : « Je veux enfin comprendre les hommes. » Au réveil, le lendemain matin, son vœu a été exaucé, elle se retrouve dans la peau d'un garçon : au secours !
    Au fil de ses extraordinaires aventures, Julie va enfin comprendre pourquoi un homme ne fait jamais le ménage, se plaint quand il est malade, aime le foot et rêve (beaucoup) de sexe. Et si Julie découvrait aussi leur véritable secret, celui qu’ils dissimulent derrière une carapace dès que l’on parle de sentiments ?

    Editeur : City Editions
    Collection :  Chick-lit
    Date de sortie : 12/8/2019
    Prix du livre papier :  Broché : 8,54€  Poche : 7,60
    Version numérique: 1,99€
    Nombre de pages :  272

     

     

    La chick lit n'est pas mon genre de prédilection et c’est :  soit j’adhère totalement, soit pas du tout. Eh bien c’est le cas ici. Mais alors pas du tout, et ce dès les premiers chapitres et ma lecture est devenue de plus en plus déplaisante au fur et à mesure.

    Au bout de 50 pages j’avais déjà envie d’abandonner. Cependant curieuse de savoir comment l’auteure allait retourner son histoire, j’ai poursuivi en diagonale, parfois, tant il ne s’y passait rien d’intéressant ni de cocasse.

    Par contre Sonia Dagotor nous « gave » — c’est vraiment mon ressenti — de clichés sur le comportement des hommes dont elle brosse un portrait des plus stéréotypés, avec en premier lieu la gaule matinale, ( et on y a droit presque à chaque chapitre) et les érections fréquentes dès que Julie/Julien croise une femme. C’est peut-être supposé être drôle ? mais la mayonnaise n’a pas pris.

    Que dire du style des plus factuels, du genre que je n’apprécie pas vraiment.  Les onomatopées genre dring dring, bip bip etc, non mais vraiment !  Rien ne pouvait donc me satisfaire au vu des mes attentes en matière de lecture.

    J’ai cherché l’humour typique à la chick-lit. Je cherche encore ce qui a peut amuser les lecteurs ayant apprécié ce roman.

    Quant au dénouement et au renversement de situation, eh bien, je m’y attendais un peu, mais pas de cette manière si précipitée et totalement incohérente.

    Une très belle couverture girly, pour un roman qui ne m’a pas convaincue, tombée dans ma PAL par l’intermédiaire de ma sœur.

    Personnellement, je ne pense pas lire d’autres romans de cette auteure, n’ayant adhéré ni au style ni à l’humour. Cependant les retours sont positifs et il ne s’agit ici que de mon propre ressenti.   

     

     

     

    L'auteur : 

    Nationalité : France

    Biographie :

    Mariée et mère de deux enfants, Sonia Dagotor est responsable marketing d’un centre commercial en région parisienne.

    Elle a publié son premier livre numérique en 2013. Elle a écrit une véritable saga en trois tomes et nous offre, en 2016, l’intégrale d’Épouse, mère et working girl.

    page Facebook: https://www.facebook.com/SoniaDagotor

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