• Jeunesse/Young adult

     

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     Missouri 1627 Masse CritiqueÀ 17 ans, Veronica a un avenir prometteur. Élève populaire et brillante, elle vient d'être admise dans une prestigieuse université et sa vie semble toute tracée. Pourtant, le jour où elle découvre qu'elle est enceinte, son monde s'écroule et toutes ses certitudes s'envolent. Elle n'est pas prête.
    Parfois, dans la vie, il y a des tests qu'on préfèrerait rater...
    Sa seule solution : se rendre dans une clinique à 1 627 kilomètres de chez elle.
    Désespérée, elle se tourne vers son ex-meilleure amie, Bailey, punkette affranchie, la seule à qui elle peut demander de l'aide.
    Commence alors un périple à mille à l'heure sur les routes des États-Unis.

     

     

    Missouri 1627 Masse Critique

     

    Coup de coeur pour ce roman frais, pétillant, touchant et drôle, le tout savamment dosé.

    Les auteurs ont su insufflé la dose d'humour suffisante pour aborder un sujet sérieux en nous entrainant dans les aventures des deux adolescentes qu'à priori tout oppose.

    Road trip de 1627 km décoiffant, très américain durant lequel nous partageons les sentiments, les introspections de notre héroïne, (la narratrice) sur le chemin semé d'embuches vers Albuquerque, dans un contexte truffé de quelques clichés, typiques de l'univers du lycée et des bouleversements occasionnés par cette grossesse : Avenir compromis pour cette meilleure élève, populaire, future major de promo, qui fréquente les bonnes personnes et plus l'ancienne amie d'enfance qu'il vaut mieux ignorer ne répondant pas aux codes sociétaux qui vont bien. Et pourtant c'est vers Bailey que se tournera Veronica. On retrouve le parfait petit ami dont les lycéennes rêvent, star de  foot, adulé, qui s'avérera être un abruti de première et bien plus encore.

    L'image de soi, les apparences, le regard des autres, les relations sociales, l'amitié vraie et l'avortement sont les thèmes centraux de cette aventure. On trouvera également traité la question de choix et de libre arbitre. Le duo d'auteurs, dont les plumes s'accordent parfaitement, au style fluide et plaisant, abordent la question de l'avortement selon les lois Américaines qui varient d'un état à l'autre.

    C'est avec plaisir que l'on suit Veronica et Bailey, embrigadées parfois dans des situations loufoques, particulièrement amusantes et dans d'autres teintées d'émotions.

     Belle histoire d'amitié, sorte de parcours initiatique  qui s'adresse tant au lectorat jeunesse, cible de la  ME, qu'aux adultes.

    Merci à Masse Critique Privilège pour cette découverte, la couverture d'une grande originalité, m'a tout de suite séduite.

     

    Missouri 1627 Masse Critique

     

    Missouri 1627 Masse Critique

    Missouri 1627 Masse Critique

     

    Les auteurs : 

     

    Missouri 1627 Masse CritiqueTed Caplan 

    Nationalité : États-Unis

    Biographie :

    Ted Caplan travaille dans l'industrie cinématographique depuis plus de 20 ans.

    Il a exercé ses talents en tant que monteur et superviseur musical dans "Deadpool" (2016), "Big Fish" (2003) ou encore "The Hate U Give" ("La haine qu'on donne") (2018).

    Il est également scénariste et a participé à l'écriture de "L'Odyssée de Pi" ("Life of Pi", 2012) et de "Slumdog Millionaire" (2008).

    Il est coauteur, avec Jenni Hendriks, de deux romans pour jeunes adultes, "Save Steve" (2020) et "Missouri 1627" ("Unpregnant", 2020).

    son site : https://www.jenniandted.com/
    page Facebook : https://www.jenniand
     
    Missouri 1627 Masse CritiqueJenni Hendricks
     
    Nationalité : États-Unis
    Biographie :

    Après des études de cinéma, Jenni Hendriks part s'installer à Hollywood où elle devient notamment scénariste de la série à succès "How I Met Your Mother".

    Elle est coauteure, avec Ted Caplan, de deux romans pour jeunes adultes, "Save Steve" (2020) et "Missouri 1627" ("Unpregnant", 2020).

    son site : https://www.jenniandted.com/
    Twitter : https://twitter.com/jennihendriks?lang=fr
    Instagram : https://www.instagram.com/jennihendriks/?hl=fr

     

     


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  • Close up Tome 1  SandreLa rumeur dit que la rebelle a de lourds secrets familiaux. On la craint.

    Tout le contraire du beau gosse dont la vie paraît simple, déja tracée. Pourtant...Une seule provocation de Sandre va suffire à bouleverser leurs vies, pour une incroyable histoire.

     

     

    Close up Tome 1  Sandre

     

    Ma PAL débordant, il temps que j'en sorte les livres les plus anciens et  que j'y fasse un peu de ménage en conservant mes coups de coeur et me débarrassant des déceptions

    Celui-ci va faire les frais de mon envie de ménage. Je n'irais pas plus loin que le T1.  L'histoire  de ces  jeunes lycéens est  mortellement ennuyeuse et abracadabrante, centrée pour une grande part du récit sur leurs émois et tourments adolescents. Un peu, ça va, trop c'est trop. Trop redondant nuise au rythme de la romance.

    Les secrets de leur vie ne sont dévoilés que dans le dernier tiers du récit, je les attendais avec impatience et au final, ils m'ont fait effets d'un pétard mouillé malgré le soudain rebondissement inattendu qui arrive comme un cheveu sur la soupe.

    Quant aux personnages ils n'ont suscité en moi aucune émotion, tant ils sonnaient creux et sont peu en accord par leurs actions avec ce que Jane Desvraux veut nous vendre. En quoi Sandre est-elle une rebelle ?  Pourquoi la craint-on ? Que fait Josh pour que Sandre l'estime adulé par toutes les filles du lycée ?  Non rien ne vient étayer ces dires Que dire des protagonistes secondaires, dont la présence n'apporte absolument rien au récit. Prudence, je cherche à comprendre à quoi elle peut bien être utile.   

    Une lecture sans réel intérêt, à mon goût, avec des idées de départ mal exploitées, le style n'est pas déplaisant en soi et l'ensemble pourra séduire des lecteurs moins en attente que moi

    Moi qui cherchais une lecture légère entre la lecture de polar, je ne peux pas dire qu'elle ne l'a pas été, mais ne pas comblée. 

     

     


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  • Les voyages de Maxime Petit SPC’est au cœur de la Malaisie que la plante magique va dévoiler ses mystères.
    Maxime Petit devra affronter à nouveau ses plus grandes peurs et redoubler de prudence pour survivre aux terribles épreuves qui vont se mettre en travers de sa route.

    Vivez cette folle aventure pleine de rebondissements, d’action et de suspense, aux côtés de Maxime et de ses amis Eleanor et Jacob.

     

     

    Les voyages de Maxime Petit SPUn deuxième opus qui captive autant que le tome 1, tout aussi riche en rebondissements, avec une approche originale ; l'auteur nous narrant les péripéties de notre attachant trio à travers la lecture du roman écrit par Maxime et qui retrace leurs aventures à postériori, pour une grande part du récit.

    Une fois de plus, le lecteur se laisse séduire par les personnages, unis des liens amicaux indéfectibles,  pour ce qui en est de Jacob et Maxime et une attirance pour la jolie Eleanor.

    Une fois de plus, c'est drôle frais, pétillant, truffé d'une foule d'informations éducatives pour nos chères têtes blondes, public cible de cette saga qui laisse entrevoir un nouveau tome, probablement tout aussi addictif. 

    Une fois de plus le texte est très adapté au lectorat visé qui peut s'identifier aux personnages aux personnalités crédibles et aux comportements réalistes, malgré le coté fantaisie de l'intrigue. 

    Je remercie Marathon Editions pour m'avoir offert cette lecture en avant première que je conseille vivement.

     

    Les voyages de Maxime Petit SP

     

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    Les voyages de Maxime Petit SP


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    Au château d’Amboise, le temps s’est arrêté : Léonard de Vinci vient de mourir. Mais pour Flore, Raphaël, Louis et Pierre, il n’y a plus une minute à perdre : ils doivent retrouver le dessin de L’aile volante , l’une des plus grandes inventions du maître. Qui l’a dérobé et pourquoi ? Le compte à rebours est lancé, car le roi François I ne doit pas s’apercevoir de sa disparition…

    Editeur :  XO/Belin Jeunesse
    Genre: Historique jeunesse 
    Date de sortie: 14/10/2020
    Prix du livre papier :  10,90€ 
    Version numérique:  7,90 €
    Nombre de pages  : 138

     

     

     

    Je connaissais Mireille Calmel comme auteure de romances historiques ayant lu plusieurs de ses romans et, grâce à Masse critique privilégié, je découvre son tout premier roman jeunesse, mâtiné  d'histoire et d'enquête.

    La couverture séduit tout de suite, adapté à un jeune lectorat, tout comme la mise en page qui offre une lecture facile. Quelques illustrations accompagnent les aventures du quatuor qu'apprécieront les lecteurs avides d'aventures. Récit ludique et instructif sur une période de l'histoire de France assortis de références à certains grands personnages, tels que Léonard de Vinci, célèbre pour ses talents de peintre et ses inventions dont l'aile volante,  François 1er et Marignan.

    Roman d'aventures qui met en avant l'amitié, le contexte historique et les lieux de vie dans de belles descriptions poétique et un vocabulaire poussé, assorti de quelques références pour des termes particuliers.

    Mireille Calmel offre un grand moment d'évasion aux enfants avides de connaissances, aux curieux et aux rêveurs. Le lecteur prend plaisir à la lecture et l'auteure parvient même à surprendre avec son  dénouement.

    Un grand merci aux Editions Belin jeunesses /XO pour ce plaisant moment. Un livre qui va rejoindre très vite la bibliothèque de ma petite fille, pile poil dans la tranche d'âge du lectorat visé.

    NB : La version papier me semble plus adaptée que le numérique, pour apprécier la finesse de l'ouvrage illustré.

     

    Le secret de Léonard Masse critique

     

    Le secret de Léonard Masse critique

     

     

    Le secret de Léonard Masse critiqueL'auteur : 

    Nationalité : France
    Né(e) à : Martigues , le 08/12/1964
    Biographie :

    Mireille Calmel est née en 1964 sous le nom de Mireille Claire Rouchon à Martigues. Sa mère, divorça de son époux Louis Rouchon lorsque Mireille avait 3 mois et se remaria peu de temps après avec Émile Calmel.

    Son père biologique s’écarta de son enfance, Il ne donna signe de vie que lorsque Mireille atteignit ses 18 ans, lorsqu’il lut un article dans un journal local vantant ses talents d’écrivain. Son père, lui manifestant très peu d’intérêt dans les années qui suivirent, l’auteure le considéra plus comme un géniteur faisant plus partie de sa genèse que de sa vie. Monsieur Calmel, légalement son beau-père, devint donc, dès le plus jeune âge de Mireille, "son seul et unique papa".

    Son grand-père, Jean Calmel, contribua lui aussi avec tendresse à son apprentissage. Il s’éteindra d’un cancer en 1981, au moment où Mireille obtiendra son premier contrat d’édition, dans une maison à compte d’auteur, pour publier "Angéline". Son grand-père lui demandera alors de le signer du nom de Calmel, car il la considère comme sa petite-fille et en est très fier.Le nom de Calmel devient donc son nom d’auteure et son héritage.

    A l'âge de huit ans, elle tombe gravement malade. Elle profite de ses moments à l'hôpital pour écrire des chansons, des pièces de théâtre et chante dans les bals. C’est durant cette période qu’elle écrivit "Angéline", elle avait alors 15 ans.

    Vers 1989, elle écrivit diverses pièces de théâtre pour les enfants. Malheureusement, son travail ne sera pas reconnu au sein du théâtre, cela ira même jusqu’au placardage d’affiches sans mentionner son nom. Mireille décida alors d’accepter la proposition du Maire de Saint Martin et fonda sa propre association de théâtre :"Les Tréteaux de l’Enfance", qui accueillit des enfants de 6 à 18 ans.

    En 1995, elle commence la rédaction de son roman "Le Lit d'Aliénor", en vivant grâce au RMI. Cinq ans plus tard, elle envoie son manuscrit aux Éditions XO : Bernard Fixot est conquis. Le livre est vendu à plus d'un million d'exemplaires et traduit dans dix pays.

    Sa carrière d'écrivain est désormais lancée : en 2003 paraît avec le même succès "Le Bal des louves" (Éditions XO) puis, en 2005, "Lady Pirate" (Éditions XO).

    Elle vit aujourd'hui en Aquitaine avec son mari et ses deux enfants.

    Le prix Cœur de France 2015 a été attribué à Mireille Calmel lors du salon du livre de Limoges, en avril 2015 pour le roman "La Marquise de Sade : chroniques libertines".

     

    PS Je découvre avec surprise, alors que je suis cette auteure depuis longtemps, qu'elle est originaire de ma ville ! 

     

     

     


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  • Anne de Green Gables Masse CritiqueCheveux désespérément roux, visage constellé de taches de rousseur, Anne Shirley est une petite fille curieuse, pleine d'énergie, souvent perdue dans ses pensées, parfois d'une gravité solennelle, sans aucun doute intemporelle. Difficile de résister à ce petit bout d'humanité de onze ans parfaitement imparfaite, héroïne d'une série de romans qui a su conquérir des millions de lecteurs à travers le monde, Anne de Green Gables, écrit par Lucy Maud Montgomery, et dont le premier tome parut en 1908. Orpheline à l'esprit vif, à l'imagination sans bornes et qui adore employer de "grands mots", Anne se retrouve par erreur chez Marilla et Matthew Cuthbert qui attendaient un garçon pour les aider à la ferme. Féministe involontaire, romantique impénitente, elle est impulsive, dramatique, maligne, drôle, et telle une authentique naïve, elle va bousculer le calme et la monotonie de la vie à Green Gables, en semant partout joies et rêveries, en dénichant la beauté dans les moindres recoins, en ne s'exprimant qu'en points d'exclamation, même dans "les affres du désespoir". Parce que l'existence d'Anne a aussi une face sombre, hantée par la mort de ses parents et les abandons, qui lui donne son énergie folle, parfois hallucinée, et qui rend son idéalisme et son indignation si poignants et si convaincants. Si le regard d'Anne transcende le monde sur lequel il se pose, Anne de Green Gables, c'est la transformation magique, presque mystique, que seul l'amour peut opérer sur les hommes et les femmes. C'est l'histoire d'une petite fille qui parvient à se faire aimer de tous (Josie Pye exceptée), et de nous les premiers.

     

     

    Anne de Green Gables Masse CritiqueLes éditions Monsieur Toussaint Louverture rééditent un roman de Lucy Maud Montgomery dans une nouvelle traduction et un nouveau format et je les remercie,  ainsi que Masse critique privilège pour m’avoir permis de découvrir une auteure  de l’époque victorienne.

    L.M Montgomery nous entraîne dans un région rurale du Canada du XIX siècle, dans une région, dont elle est originaire et ayant marqué sa propre enfance et ses textes.

    Les personnages sont pétris de valeurs morales, conformément à l’époque et, notre héroïne, plutôt fantasque  à l'esprit romanesque, vient perturber cet univers bien réglé. Tout d’abord par le fait que la petite fille n’était pas attendue chez Marilla et Matthews, le frère et la sœur célibataires, ayant souhaité adopter un « garçon » et voient débarquer une orpheline bien peu terre à terre, à l’imaginaire débordant et que le cadre de vie idyllique, dépeint avec brio par l’auteur, ne va faire qu’exacerber.  

    Le récit, très majoritairement en dialogues, monologues pourrions-nous dire, tant Anne ne cesse de bavarder sans que personne ne puisse l’interrompre, nous narre le quotidien de l’héroïne, ses tourments, ses espoirs, ses déceptions.  C’est à travers Anne que L.M Montgomery fait passer de nombreux messages dans ses narrations quotidiennes à Marilla qui lui offre un soupçon de reparties. Les interactions avec Matthews sont rares, mais logiques, au vu du caractère taiseux du personnage. Cependant l’auteure parvient à faire passer de l’émotion à travers cette histoire d’amitié et d’amour filial qui se crée au fil des ans.

    L’on s’attache à cette gosse soulante comme s’attacheront les personnages les plus rétifs du roman.

    La plume de l’auteure m’a totalement séduite, poétique, elle nous plonge dans l’ambiance délicieuse de l’ Ile du Prince Edouard, au gré des saisons à travers des descriptions sublimes. J’ai cependant connu un petit passage à vide avec une longue tirade d’Anne, mais très vite l’additivité de la lecture à repris ses droits.

    Bien que le récit ne soit pas particulièrement riche en rebondissements, on peine à poser sa lecture, tant Anne nous amuse par son étourderie. L’humour est donc présent, assorti de scènes émotives sur la fin de ce premier tome, puisqu’il s’agit d’une saga en 10 volumes, il me semble, et que j'ai bien envie de suivre

    Etiqueté comme roman jeunesse il séduira néanmoins, les adultes nostalgiques d'histoires du genre ayant bercé leur enfance, avec ses airs de « Petite maison dans la prairie ».

    Coup de cœur pour cette belle histoire présentée dans une version originale qui m’a surprise, tant on ne trouve guère de livres cartonnés de nos jours et offert avec un feuillet version gazette de l’Ile-du-Prince Edouard de l’époque.

     

    Anne de Green Gables Masse Critique

     

     

    Anne de Green Gables Masse Critique

     

    Anne de Green Gables Masse CritiqueL'auteur 

     

    Nationalité : Canada
    Né(e) à : Île-du-Prince-Édouard , le 30/11/1874
    Mort(e) à : Toronto , le 24/04/1942
    Biographie :

    Lucy Maud Montgomery est une romancière canadienne de nouvelles et romans pour la jeunesse se déroulant généralement sur l'Île-du-Prince-Édouard, au Canada, dont le plus célèbre est Anne... la maison aux pignons verts.
    Elle suit une formation à Charlottetown pour devenir enseignante et, de 1895 à 1896, elle étudie la littérature à l'Université Dalhousie à Halifax, Nouvelle-Écosse. À dix-sept ans, elle rédige pour les journaux locaux d'Halifax, Chronicle et Echo. Peu après, elle rejoint son père en Saskatchewan pendant un moment et retourne finalement sur l'île-du-Prince-Édouard.

    Après plusieurs emplois dans différentes écoles sur l'île, elle retourne à Cavendish où elle vit avec sa grand-mère devenue veuve. C'est pendant cette période qu'elle trouve l'inspiration et qu'elle rédige ses livres. En 1911, peu après la mort de sa grand-mère, elle épouse le révérend Ewan Macdonald, pasteur presbytérien, et s'installe en Ontario, où son mari obtient un poste de pasteur à l'église presbytérienne Saint-Paul à Leaksdale.
    C'est dans ce presbytère qu'elle rédige onze livres. Cette maison est par la suite vendue et est devenue un musée (Lucy Maud Montgomery Leaskdale Manse Museum).

    Elle connaît un succès international avec Anne... la maison aux pignons verts, paru en 1908, et qui a été traduit en seize langues. De ce roman qui s'adresse à toute la famille, ont été tirées plusieurs adaptations audiovisuelles. Celles-ci, très populaires dans le monde anglo-saxon, ont permis à Montgomery d'écrire d'autres livres sans soucis financiers.

     

     

     


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