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    Être Harry Potter n'a jamais été facile et ne l'est pas davantage depuis qu'il est un employé surmené du Ministère de la Magie, marié et père de trois enfants. Tandis que Harry se débat avec un passé qui refuse de le laisser en paix, son plus jeune fils, Albus, doit lutter avec le poids d'un héritage familial dont il n'a jamais voulu. Le destin vient fusionner passé et présent. Père et fils se retrouvent face à une dure vérité : parfois, les ténèbres surviennent des endroits les plus inattendus.

     

     

     

    Fan de Harry Potter comment résister à l’annonce d'un nouveau tome  avec nos personnages préférés dix huit ans plus tard. Donc et bien je fonce tête baissée ( c'est tout moi) pour  découvrir une fois ce tome en ma possession et avoir échangé avec d'autres personnes que cet opus n'est pas vraiment à ce qu'il parait.

    C'est en fait  une pièce de théâtre  écrite à plusieurs mains. Cependant elle nos transporte dès les premières pages dans un univers pétri de références aux précédents ouvrages, et la magie opère. J.K Rowling nous avait abandonnés sur le quai de gare avec Harry/Giny, Ron/Hermione et leurs enfants Albus et Rose prenant le Poudlard  Express pour leur première année scolaire dans la célèbre école de sorciers.

    Cependant malgré la petite déception de ne pas retrouver un roman  conventionnel, je me suis plongé dans cette pièce et je ne pouvais plus m'arrêter. Dès les premières pages on parvient à oublier la trame script pour s'immerger dans le monde fantastique des Harry Potter.

    La pièce débute donc à Kingscross,  Albus particulièrement inquiet sur son avenir à Poudlard, sur la maison qu'il va intégrer (et ses pires craintes se réalisent) va faire la connaissance de Scorpius Malefoy, le rejeton du pire ennemi de son père. Plusieurs années passent et sont très superficiellement abordés pour parvenir à l'instant T.

    L’intérêt de cette approche est de vraiment visualiser les scènes, grâce aux commentaires , c'est comme si nous assistions au tournage du film, que le metteur en scène y joue d'effets spéciaux, du son et de la lumière,  qu'il dirige les acteurs pour que nous puissions ressentir leurs émotions et leurs sentiments.

    Nous découvrons un Albus peu sur de lui et plein de ressentiments envers son père, une relation difficile entre les deux , dû au manque de dialogue entre eux, les auteurs  soulevant la difficulté relationnelle entre parents et adolescents, l'adolescent cherchant sa voie.

    Albus va donc prendre des décisions qui vont perturber l'ordre des choses, entrainant avec lui Scorpius devenu son meilleur ami.

    Cette pièce met ainsi en avant l'amitié, les à priori et les questionnement sur l'éducation des enfants. Pas facile d'être père, prendre les bonnes décisions, accompagner son fils dans les bons choix, lui imposer involontairement  une notoriété dont Harry lui même n'a jamais voulu.

    C'est avec plaisir que l'on retrouve notre petit quatuor, fidèle à  leurs personnalités qui nous avaient tant séduits avec une dynamique de groupe inchangée. L'on s'attache même à  un Drago très présent  et assez surprenant.

    Pour tout dire, la forme importe peu, cet Harry Potter est une réussite et j'avoue que j'ai beaucoup aimé ce volet, bien sur on n'y retrouve pas la force d'un roman, c'est peut être ce qui a gêné de nombreux lecteurs et j'avoue que j'aurais apprécié une histoire avec plus d'interactions avec d'autres personnages, découvrir James  la personnalité de l'ainé des Potter, celle de Rose la fille d' Hermione et encore beaucoup d'autre choses. Oui il y matière mais au demeurant ceci n'est pas dans les projets de J.K Rowling qui est passé à un autre style litteraire. Concentrons sur cette intrigue bien menée et passionnante avec cette question : qui est l'enfant maudit ?

    Un livre a conseiller à tous les fans qui ont du mal à quitter la famille Potter, même si les critiques sont parfois négatives il faut se faire sa propre opinion.

    Merci à mon neveu pour m'avoir prêté la version complète papier très agréable à lire.

     

     

     

     

     

     

    Extraits citations

     

    "Dumbledore

     

    - Et c'est à moi que tu demandes comment protéger un jeune garçon d'un terrible danger ? On ne peut pas protéger les jeunes de la souffrance La douleur doit arriver et elle arrivera"

     

    Harry il n'existe pas de réponse parfaite dans ce monde d’émotions e t de désordre La perfection est hors de portée de l'espèce humaine de la magie. dans chaque instant rayonnants de bonheur, il y a cette goutte de poison : la conscience de la douleur reviendra Pour un humain souffrir c'est comme respirer"

     

     

    Harry

     

    " c'étaient des grands hommes avec des défauts et je vais  te dire une chose: ces défauts les ont peut-être rendus encore plus grands"

     

     

     

     

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    « Je la suis depuis plusieurs jours. Je sais où elle fait ses courses, où elle travaille. Je ne connais pas la couleur de ses yeux ni comment est son regard quand elle a peur. Mais je le saurai bientôt. »
    Incapable de dire non au séduisant et énigmatique inconnu qu’elle vient de rencontrer dans un bar, Mia Dennett accepte de le suivre jusqu’à chez lui. Sans savoir qu’elle vient de commettre une grave erreur. Et que rien, jamais, ne sera plus comme avant. Suspense psychologique envoûtant, Une fille parfaite possède une écriture affûtée, nerveuse, qui sait faire naître peu à peu une émotion bouleversante. Dans ce récit à trois voix, les apparences sont trompeuses, jusqu’à la révélation finale : un uppercut en plein cœur.
    Vous n’oublierez pas Une fille parfaite. Vous n’oublierez pas Mia.

     

     

     

    Une fille parfaite est un thriller psychologique raconté à trois voix .  L'enlèvement de Mia est vécu à travers les yeux d' Eve, la mère, Gabe l'enquêteur et Colin le ravisseur.  Mary Kubica nous transporte dans le passé et le présent. C'est peut-être ce qui m'a le plus dérangé au début, avec le style trop factuel sur les passages narratifs de Colin.Nous sommes donc confrontés à differents point de vue pour des meme événements.

    Nous suivons les pensées d' Eve  qui nous fait partager ses émotions,  sa souffrance , sa culpabilité  d'avoir été , estime-t-elle une mauvaise mère, qui regrette de n'être pas intervenue dans les décisions de James son mari , particulièrement antipathique. Nous entrevoyons sa vie, la complexité des liens familiaux et les tensions entre parents-enfants, les attentes des uns, la déception, le sentiment de rejet de l'autre. Vivons intensément ce drame familial, son inertie et sa soumission un peu agaçante à travers son regard dans la période avant l'enlèvement et sa nouvelle conduite réalisant intensément  qu’elle a failli perdre sa fille .

    Par l'intermédiaire de Gabe nous suivons l'évolution de l'enquête et découvrons la personnalité de Colin, ses différentes facettes, son passé, les raisons qui pourraient expliquer pourquoi certains se perdent et prennent une mauvaise route. Gabe est un personnage attachant  particulièrement empathique, (peut-être trop pour un inspecteur),  un flic impliqué comme en rêve, tout comme Eve. Deux personnes aux statuts sociaux differents qui vont se rencontrer et s’apprécier, sans Mia leurs routes ne seraient jamais croisées.

    Puis l'auteur développe la relation  Mia/ravisseur. Cependant nous n'avons que la vision de Colin. Nous ne pouvons qu'imaginer ce que peut ressentir Mia à travers les réactions que perçoit le ravisseur. A travers ses propos nous assistons à une évolution dans leur relations dejà complexe au départ, difficile de comprendre ses chauds-froids, la raison profonde qui l'a poussé à ne pas jusqu'au bout de son contrat, et la galère dans laquelle il se trouve.

    Cette histoire est addictive bien qu'il n'y ait pas de rebondissements fracassants ni beaucoup d'action. Soudain,  du moins pour moi, le fait de passer d'avant à après rend l'envie de connaitre le fin de mot de l'histoire sur les évènements qui se sont produits pendant plusieurs mois dans cette cabane perdue au milieu de nulle part, encore plus forte. On imagine renforcement le pire , c'est insupportable, ça ne va pas assez vite. Quand Mia va-telle retrouver la mémoire et guérir de ce choc  post-traumatique ?

    J'étais impatience d'obtenir des réponses.

    Qui a commandité cet enlèvement ? Pourquoi Mia et pas Grâce pour laquelle James a une nette préférence, "la fille parfaite"?

    Parce qu'au fil des pages, j'ai cherché en quoi le titre et Mia pouvait avoir un lien, et je n'en trouvais pas. Mia une jeune femme touchante qui quelque part est un  peu  retrait dans cette histoire tout en étant le personnage principal, jusqu'à ce que se soit de sa bouche qui  obtenions les réponses.

    Je dois l'avouer, j 'avais élaboré quelques suppositions mais au grand jamais  celle-là et c'est une surprise de taille. Bravo à Mary Kubica pour ce  final fracassant avec les réponses à toutes mes questions, qui  et pourquoi, et qu'était devenu Colin, un ravisseur auquel on s'attache, nous aussi presque victimes du syndrome de Stockholm.

    Je comprends que ce magnifique thriller psychologique puisse être un coup de cœur, mais personnellement, le style m'a un peu rebuté au  début, je n'aime pas les styles trop factuels , je m'y ennuie, cependant j'ai ressenti beaucoup d'émotions et les personnages m'ont touchés, tous de différentes manière.  Au auteur à suivre.

    Je conclurais en  lui attribuant :

     

     

     

     

     

     

     

    Extraits citations

     

    "- nous sommes  comme deux petites figurines  dans une boule à neige de verre qu'un enfant aurait retournée"

     

    "- Je sais reconnaitre l’indifférence . Je l'ai eu en face de moi toute ma vie."

     

    "un  seul facteur ne suffit pas pour engendre chez un individu une conduite violente ou anti sociale"

     

    " je n'ai certainement pas été la meilleure  des mères. Cela va sans dire. Pas plus que je n'ai décidé d'être une mauvaise mère. C'est arrivé c'est tout"

     

    ©M. Kubica

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    Des LC  et des réponse

    au Défi  Lecture 2017 sur FB pour épurer ma PAL

     

     2 sagas

     

     et

     

    Bilan de février

     

     

    Mes LC

     

    Bilan de février

     

    Pour Masse Critique Babelio

     

    Bilan de février

     

    Tentée

     

    Bilan de février

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    Beso de la muerte

     

    Août 1936, en Espagne, on assassine Garcia Lorca, accusé de sympathie républicaine. Août 2011, à Marseille, on découvre le corps calciné d'une femme, abandonné sur les rails; Entre ces deux morts, s'écrivent les tragédies du vingtième siècle, les secrets d'Etat, les coulisses de la démocratie espagnole naissante et a passion dévorante d'une jeune femme pour l'ombre du poète....

    Entre ces deux âmes suppliciées, un pacte étrange, bien au-delà du temps, va profondément bousculer la nouvelle enquête de la commissaire Aïcha Sadia....

    Émouvant, tragique, attachant, à fleur de peau et diaboliquement crescendo.

     

     

     

    Merci à Marie pour ce livre reçu dans le cadre " d’échanges de livres entre copinautes"

     Un titre et une page de couverture que mon amie Fabie a trouvé plutôt angoissante, il faut le reconnaitre c'est assez morbide. Cependant le résumé était intriguant, quel lien pouvait-il y avoir entre une femme assassinée à notre époque et celui de Federico Gabriel Lorca sous le régime fasciste du Caudillo ?

     C'est ce que nous découvrirons au fil des pages, Gilles Vincent, (un auteur que je découvre) nous entraine dans une intrigue passionnante sur fond politico-historique, allant du décès tragique du poète à des alliances  politiques contemporaines, où à trop s'approcher de la vérité les protagonistes risquent " el beso de la muerte"

    L'auteur parvient à faire prendre la sauce sans que les références historiques soient indigestes, nous séduire et nous tenir en haleine avec cette histoire captivante nous faisant voyager de Marseille à Grenade en passant par Pau, Toulouse, Madrid et Grenade à la recherche de secrets bien gardés comme l'emplacement de la tombe de Federico Garcia Lorca et autres secrets d’État imaginaires peut-être mais tellement plausibles.

    C'est grâce à son talent de rendre les ambiances, par des descriptions  des lieux et  des paysages, de l'âme humaine,  des personnalités abouties de ses protagonistes, d'une plume fluide et poétique qui contrebalance l'atrocité de certaines scènes que le lecteur se laisse porter et  s'attacher à toute  l'équipe d'enquêteurs d' Aîcha, la commissaire.

    C'est un polar magistralement traité, particulièrement addictif, au fur et à mesure que l'on avance, le puzzle se dessine et le lecteur pressent l'évolution de l' histoire et son aboutissement, cependant Gilles Vincent parvient à  surprendre.

    Malgré la complexité de l'intrigue, je me suis laissée séduire par tous les protagonistes, par leurs histoires personnelles et ce, de Thomas à Aïcha, en passant par Sébastien, Esteban et Claire.

    C'est à l'issue de l' histoire que l'on comprend les motivations de Claire, les raisons qui justifient l'implication de Thomas, son ex, dans cette enquête.

    Le petit plus pour moi est dans l’intérêt culturel apporté par cette approche:

    • le décès du poète dont on ne connait  toujours  pas aujourd'hui le lieu de sépulture (point de départ véridique qui a inspiré l'auteur)
    • et les GAL (Groupes antiterroristes de libération) qui ont sévi pendant 3 ans au moins traquant les membres de l' ETA de manière peu conventionnelle.

    Bien évidemment j'ai souhaité en savoir davantage ( article très intéressant ICI) sur ce sujet ainsi que sur celui concernant Gabriel Lorca.

    Un roman donc passionnant  qui pousse à se documenter et une promenade pour moi dans des villes connues dont j'ai arpentés les routes, les jardins ( je pense au Parc Del Retiro par exemple, et j'ai ressenti les ambiances de ces lieux gorgés de soleil aux accents chantants qui résonnaient à mes oreilles dans certains passages en espagnol,  trouvé l'explication du mode vie espagnol suggéré par  l'auteur original et plausible.

    "-vous savez, à Madrid, pendant la guerre civile, les gens ont tenu. Des mois entiers à braver l'armée. Et cette force, cette ardeur populaire, j'ai l’impression qu'on la sent monter du sol Un peu comme un arbre invisible dont on percevrait les racines... C''est ça Madrid. Le cœur même de l'Espagne. Le rouge contre le noir, la clameur contre le silence et l'oubli (..)  le soir les gens affichent leur fierté dans chaque bar, à  chaque terrasse. Un peuple qui brave la crise à coup de rires et de tournées générales.

    Je pense que ce dernier maitrise son sujet, ou tout au moins connait particulièrement les endroits qu'il décrit.

    Une lecture super rapide et un coup de cœur pour cette intrigue rondement menée. Un style qui donne envie de découvrir d'autres romans de cet auteur avec si j'ai bien compris Aïcha, la commissaire dans d'autres enquêtes.

     

     

     

     

    Extraits citations

     

    " Une  vie de flic, résumait souvent Thomas Roussel, c'est comme un balcon ouvert sur les couleurs pourries du monde"

     

    "L'amour est une comédie aux couleurs tragiques. Quand il nous laisse sur le coté et que l'autre part, ferme la porte et ne revient pas, la brulure reste là comme la  braise endormie, prête à flamber au premier courant d'aie parfumé"

     

    "-vous savez, à Madrid, pendant la guerre civile, les gens ont tenu. Des mois entiers à braver l'armée. Et cette force, cette ardeur populaire, j'ai l’impression qu'on la sent monter du sol Un peu comme un arbre invisible dont on percevrait les racines... C''est ça Madrid. Le cœur même de l'Espagne. Le rouge contre le noir, la clameur contre le silence et l'oubli (..)  le soir les gens affichent leur fierté dans chaque bar, à  chaque terrasse. Un peuple qui brave la crise à coup de rires et de tournées générales."

     

    " - le ressentiment ne s'éteint pas forcement avec la mort des hommes. La haine, je le sais pour l'avoir maintes fois observée, transcende parfois des générations Je pense même que que ces nouvelles générations se servent parfois de cette haine pour se construire"

     

    " - Vous savez le mot "secret" porte ne lui tous les stigmates de la défiance. Quand un  groupe d' homme partage un instant clandestin, et que la divulgatrice de ce cet instant pourrait avoir de lourdes conséquences pour certains protagonistes, c'est la méfiance qui s'installe"

     

    © G.Vincent

     

    Beso de la muerte

     

    21.Un livre obtenu lors d'un swap (échange de livres entre deux personnes)

     

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    Grisha Bruskin vit à New York (Manhattan), au cœur de Soho. Peu après la chute du régime soviétique, ce grand artiste new-yorkais d’origine russe a connu la notoriété internationale, de façon surprenante, lors d’une première mise aux enchères d’œuvres d’art d’artistes russes, organisée à Moscou. Depuis lors, il expose dans le monde entier ses tableaux, tapisseries, installations, sculptures, qui tissent un lien esthétique original entre le monde soviétique et le monde judaïque et occidental. Son immense talent a été salué par les galeries et les collectionneurs en Europe, en Russie et en Amérique.

    « Comme au cinéma » raconte, avec tendresse et poésie, l’histoire de sa famille, dans laquelle, inévitablement, se mêlent son histoire personnelle et amoureuse et celle du peuple russe. Les nombreuses photos d’archives, souvent drôles et émouvantes, qui illustrent cette saga familiale, donnent au livre un aspect cinématographique qui en font un objet à la fois littéraire et artistique – une histoire et une vie sentimentale et savoureuse racontée en mots et en images.

     

     

     

     

    Vous connaissez Grisha Bruskin ? Et bien moi pas du tout. Comme je suis une grande curieuse, je me suis laissée tentée par la page de couverture.

    L’originalité de ce roman est dans la manière de nous la raconter. Des poèmes et des photos, bien sychro, tout ce dit par le regard que l'auteur porte sur les images de son passé, sur sa famille.

    On chemine ainsi avec l'auteur  et j'avoue que c'était émouvant de feuilleter avec lui son album de famille de partager ses souvenirs  est ses  propre émotions. C'est assez nostalgique.

     C'est une œuvre qui se faut prendre le temps  d'ouvrir, il faut se poser, bien regarder les photos pour comprendre les mots qui vont avec. J'avoue que j'ai eu beaucoup de plaisir à découvrir toutes ces images sépias vestiges d'un temps révolus (j'adore les vieilles photos, sépia ou noir et blanc elles rendent quelque chose de particulier, je trouve que ça donne aux anonymes un coté star , oui comme au cinéma) .

    A travers ces images et les textes qui vont avec , l'auteur nous fait cependant partager les drames d'une vie, et les moments de  joie aussi.

    La grande difficulté que j'ai rencontré est lié aux noms russes, je me suis un peu perdue parfois dans cette grande famille. Cependant la manière de conter sa vie est très originale et l'on assiste bien aux moment joyeux et tristes de la vie de l'auteur.

    Une découverte intéressante d'un personnage public qui m'était inconnu. Merci encore à Babelio , Masse Critique et les Editions La Baconnière, le livre est très beau.

     

     

     

    Comme au cinéma

     

    35. Un livre auquel je me fie à la couverture (défi 2015)

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